L'hiver viens, le froid n'aidant pas du tout au départ de cette longue route qui les attendaient tous les trois. Oui l'hiver viens, et il se faisait bien sentir en ce début décembre 1460. Le jour J était enfin arrivé!!
Les mains gelés, les pieds engourdis, la tête à la merci des quatre vents... Gluth se demanda si finalement ce voyage en vaudrait le coup. Il s'imaginait des tas de choses, milles scénarios pour mené cette expédition a bien et en profité un maximum, mais c'était sans compté sur ce froid!
Bien qu'il eut tout fait et tout tenté dans les jours précédents pour avoir le plus beau des chevreuils pour se voyage, il dut chercher un autre moyen de locomotion.
Tout en attelant le canasson "emprunté" a la râleuse de Sarlat et en préparant difficilement les bagages, il essaya de se convaincre que le voyage pouvait tout de même en valoir le coup, malgré ses doigts près à tombés au moindre accroc.
Une fois les préparatifs fait, il parti se réchauffé à la maison avant le grand départ, attendant les dames bien au chaud.
Il en fût triste pour le cheval qui devait rester dehors. Une fois la porte de la maison fermée, Lucette et Gluth furent près à partir, il ne manquait plus que la petite!
Mais une nouvelle lui vint ce soir là. Zeline était inquiète, si inquiète de ne pas voir Gluth et Lucette qu'elle en eut apparemment peur de partir. Ce qui était compréhensible.
Le cheval allait devoir rester dans le froid encore un bon moment!
Mais le lendemain fit place à la détente, aux dernières choses oublier, aux réserves un peu mieux géré. La journée passa et la nuit n'attendait qu'eux! Quoique... le cheval aussi.
Les mains gelés, les pieds engourdis, la tête à la merci des quatre vents... Gluth se demanda si finalement ce voyage en vaudrait le coup. Il s'imaginait des tas de choses, milles scénarios pour mené cette expédition a bien et en profité un maximum, mais c'était sans compté sur ce froid!
Bien qu'il eut tout fait et tout tenté dans les jours précédents pour avoir le plus beau des chevreuils pour se voyage, il dut chercher un autre moyen de locomotion.
Tout en attelant le canasson "emprunté" a la râleuse de Sarlat et en préparant difficilement les bagages, il essaya de se convaincre que le voyage pouvait tout de même en valoir le coup, malgré ses doigts près à tombés au moindre accroc.
Une fois les préparatifs fait, il parti se réchauffé à la maison avant le grand départ, attendant les dames bien au chaud.
Il en fût triste pour le cheval qui devait rester dehors. Une fois la porte de la maison fermée, Lucette et Gluth furent près à partir, il ne manquait plus que la petite!
Mais une nouvelle lui vint ce soir là. Zeline était inquiète, si inquiète de ne pas voir Gluth et Lucette qu'elle en eut apparemment peur de partir. Ce qui était compréhensible.
Le cheval allait devoir rester dans le froid encore un bon moment!
Mais le lendemain fit place à la détente, aux dernières choses oublier, aux réserves un peu mieux géré. La journée passa et la nuit n'attendait qu'eux! Quoique... le cheval aussi.