Chez Lucette et Gluth

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    Cagna
    Cagna


    Messages : 34
    Date d'inscription : 27/02/2017

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    Message  Cagna Dim 28 Jan - 20:17

    Les musiques s'entremêlent et créés un brouhaha inaudible qui ont tôt fait de me sortir d'une trop douce torpeur. Je n'en ai aucune envie mais il faut bien éteindre ces réveils. Le miens est immédiatement éteint de quelques manipulations tactiles sur mon téléphone. Celui de Margot, je le laisse sonner, bien que je n'en aime pas du tout la musique.
    Elle semble être en plein rêve, ne bougeant pas d'un poil alors que je me retire de la couverture et de son étreinte. Cela faisait longtemps que nous n'avions pas dormit ensemble toutes les deux, et la regardant, je commence a regretter tout ce temps perdu. Je l'imagine encore en petite fille de 6ans, dormant entre son père et moi. Et dire qu'à l'époque, lui voulait que nous fassions nos affaires devant leurs yeux, et parfois même vouloir les faire participer à nos jeux d'adultes... ce que j'ai toujours refusée. J'étais conne !
    Je regarde ma fille en y pensant, mais son réveil sonne de nouveau, me ramenant à la réalité. Je me dirige alors vers la porte.

    -Hm... Maman ?! Tu t'en vas ?!

    La lumière du chevet s'allume. Je me tourne alors vers elle.

    - Oui ma chérie. Je vais réveiller ton frère.

    - Haa... Il est déjà l'heure ?!... Et... tu y vas à poil ?!

    Je souris à la remarque et j'ai bien l'intention, au contraire, de gagner de précieuses minutes.

    - Oui, pourquoi ?! Ça ne le dérangera pas je pense.
    Tu n'as qu'à t'occuper du dressing. Je te laisse trouver comment nous habiller.

    -Nous ? Comment ç...

    - Oui, NOUS !! ALLEZ, HOPHOPHOP DEBOUT !!!

    Je suis déjà partie, la laissant se réveiller et cogiter tandis que je file dans la chambre de mon fils.

    -(Partie chambre du fils a faire)-

    Je découvre avec stupeur les affaires laissées sur le lit.
    Un faux gilet, noir, qui n'est en fait qu'un boléro en laine très court à manches longues qui se met par dessus autre chose, comme un crop-top ou un pull, voir une robe... mais ne se porte jamais seul ! Surtout que celui-ci reste ouvert, n'ayant aucune fermeture ou quelconque boutons.
    Et... plus surprenant encore... ma jupe coquine d'écoliere !!!
    Le pire c'est que cette jupe de cosplay coquin ne couvre pas l'entièreté de mes fesses ! Je sais cependant qu'elle me va encore, l'ayant fait découvrir récemment à Christophe.
    Je suis surprise du choix, et pourtant, ne cesse de regarder ces affaires. Ils sont mis dans une telle disposition, avec ce grand miroir juste derrière, que la tenue complète est assez facile à imaginer.
    Cela me sidére ! Me sidére que ma fille puisse avoir de tels goûts, surtout envers moi. Je suis sa mère bordel !
    Mais mon dieu, je suis toute autant fascinée et excitée !
    Je me touche même la poitrine en imaginant devoir porter ça ! Elle voudrait vraiment que je les emmene à l'école dans une tenue pareil ?! Hoo mon dieu ! Que vont penser les gens ?! Que vont dire les autres parents devant l'école de mes enfants ?!
    Je rêve, je me touche, et sans même m'en rendre compte, je remarque soudain avoir enfilé le haut, me regardant dans ce miroir, cachant ma poitrine d'une main ! Mon dieu !
    J'aimerai tellement pouvoir m'exhiber ainsi ! Rien ne m'en empêcherait d'ailleurs. Mais ce ne serait pas très raisonnable, ni envers mes enfants, ni envers les enfants des autres. Mon excitation me pousserait pourtant à tenter la chose, mais la raison l'emporte.
    Désolée ma fille, mais c'est une promesse que je dois passer.
    Je fouille donc les placards à la recherche de mieux à me mettre, bien qu'au fond de moi je sais que la tenue sur le lit serait le summum de ce fameux MIEUX... mais nous avons déjà perdu beaucoup de temps. Un chemisier et mon pantalon en cuir feront l'affaire.

    Je retrouve mes enfants dans l'entrée, se préparant à partir. Je suis de nouvelle fois prise de stupeur en voyant la tenue de ma fille. Celle-ci a empruntée l'un de mes chemisiers transparent, le blanc ! On voit ses petits seins aisément au travers. Avec la jupe en cuir cela lui va à merveille, d'autant que sur elle... tout à l'air ajustés correctement ! Mais ses seins visibles, crotte... non !

    -Hoo non maman, tu fais chier ! Tu m'avais dit de choisir pour nous !

    Haa oui merde, j'en avais oubliée de mettre changée complètement.

    - Bin oui mais bon chérie, on va quand même pas montrer nos seins à tout le monde ! Allez, vas mettre autre chose, dépêches toi !!

    - Bin pourquoi pas ?! Tout le monde veut voir tes seins maman !

    -Oui c'est vrai maman !

    Je commence a monter un peu le ton, voyant que la demoiselle met sa veste.

    - Alors de 1 : C'est à moi de décider qui peut voir mes seins. Et de 2 : Putain réfléchie ! Tu vas au collège ! C'est pas en montrant tes seins à tout le monde que ça va augmenter tes notes ! Ni en montrant les miens ! Alors merde, tu vas mettre autre chose, ou au moins un truc pour les cacher, parce que là on dirait surtout que tu cherches à te faire kidnapper, et putain j'ai vraiment pas envie de ça ! Allez grouille !!

    -Mais... merde.... maman..

    - TU DÉGAGES ET TU TE MAGNES LE CUL !!

    Blouson en cuir et bottes à talons, et me voilà prête. Du classique certes, mais le temps en ce moment est capricieux. Je vérifie que Mathias soit prêt pour ne penser à rien.
    Revoilà enfin Margot, avec la même tenue. Elle a juste mis un soutien gorge d'ados en dessous. Il cache au moins ce qu'il faut, c'est déjà ça.
    Tant pis pour elle si elle attrape froid.

    - C'est bon ? On est parti ?

    Nous partons donc, laissant Toby dehors. Je vais revenir très vite, il en a l'habitude.
    Margot me fait la tête, m'évitant même quand j'essaie de lui parler et m'approcher. Cela m'énerve également, mais il vaut mieux la laisser. Mathias lui me donne la main, ce qu'il ne fait plus beaucoup ces derniers temps. Mais il essaie d'apaiser la tension comme il peut et cela mérite bien de lui faire plaisir.

    Nous restons tous trois silencieux tout le long du chemin. Mathias finit par entrer dans l'école, non sans un gros bisou de sa maman, et Margot et moi continuons ensuite en direction du collège, au bout de la commune.
    Je tente le dialogue.

    - Qu'est ce qui ne va pas ma puce ? Tu aurais voulue que je me montre à poil ?

    Je la rejoins en me serrant contre elle et en lui tenant la hanche. Je ne lui en veux pas vraiment, mais la voir en colère en partant à l'école m'ennuie beaucoup.

    - Laisse moi tranquille.

    - Mais allez ! Dis moi ce qui va pas !

    Je rajoute un doux baiser à sa joue, et tente un regard dans ses beaux yeux verts.

    - OK, déjà non t'aurais pas été "A poil", mais habillée ! Mais tu me demandes un truc, je le fais, et ensuite tu m'engueules ! C'est pas juste, putain !

    Merde, elle a raison ! Et ça m'attriste de l'avoir autant engueulé pour ça. C'est vrai qu'elle a juste fait ce que je lui ai demandé.

    - Pas à poil ? Tu rigoles ? Il aurait fallu que je me tienne les seins tout le long du chemin pour ne pas les montrer à tout le monde !

    Elle me regarde enfin, les yeux presque en pleure sous l'énervement, mais elle me sourit enfin.

    - Oui ! Mais tu n'aurais quand même pas été "à poil" ! Faut arrêter ton délire. Montrer tes seins et sortir toute nue c'est complètement différent ! Y'a plein de meufs qui montrent leurs seins en sortant dehors, et qui sont bien moins belles que toi. Alors je comprends pas pourquoi tu veux pas. T'as des seins tellement gros et beaux... allors merde ! Tu veux pas sortir parfaitement habillée en montrant ta belle paire de seins ? Ok... mais ça fait chier !!

    Je prends conscience à quel point ce n'est finalement pas grand chose. C'est vrai qu'avec le haut qu'elle m'avait proposée et la jupe, ça m'aurait habillé tout de même. Complètement comme une pute, oui, mais finalement est-ce que cela aurait été si grave que ça ?
    Le chemin est terminé et nous arrivons sur le parking du collège. Nous nous frayons un chemin entre les bus, les voitures et les ados, et finissons devant le portail déjà ouvert. Nous sommes un peu en retard, mais par chance, la sonnerie se fait tout juste entendre. C'était moins une !
    Une petite tappe sur les fesses de ma fille en guise de bon courage, et je repart aussitôt dans la direction opposée.

    Je croise le regard d'une bande de gamin, qui me reluque des pieds à la tête. Ils n'ont pas l'air commode, et je parierai que ce sont surtout des petits cons, juste à l'école pour emmerder les autres. Cela ne m'étonnerait pas qu'ils se soient fait virer du bahut. L'un d'eux me siffle lorsque que je les dépasse, mais je continue, j'ai autre chose à foutre.

    Cela devrait m'énerver encore plus, mais pourtant, en chemin, je ne peux m'empêcher de sourire. J'essaie de m'imaginer avec la tenue que m'avait préparée Margot. Marcher en escarpins, des bas très fin, Noir, m'arrivant jusqu'à mi-cuisse, que j'aurai ajouter pour faire plus "pute". Cette petite jupe que j'aurais mise sans culotte, que je devrais sans cesse ajuster pour ne pas attirer trop l'attention sur ma chate visible. Cela laisserai complètement mes fesses nues, surtout à force de la tirer sur le devant. Hmm, montrer ma chate ou montrer mon cul ?Compromis facile à choisir, car mon autre main serait bien occupée à cacher ma poitrine à tous les regards.
    J'en suis à évaluer la démarche, plaquant mon bras droit sur mes seins et poser la main gauche au niveau de mon intimité. Finalement, il n'est pas si difficile que ça de marcher ainsi.
    Quelles têtes auraient fait ses gamins ?! Humm j'aurai aimé voir ça ! Si les quatres se contentent d'apprécier me voir en cuir, comment seraient ils à me voir presque à poil ?! Ils ne méritent certainement pas ça, mais c'est une vision qui pourtant m'excite grandement !

    Je rentre vite. Besoin de penser a autre chose. Cette journée démarre étrangement, par ma faute. J'ai ma fille qui m'en veut, pour quelque chose auquel j'aurais pourtant dit oui, si la demande ne venait pas d'elle. D'autant que c'est moi, de base, qui l'avait demandé ! Normal qu'elle m'en veuille.

    J'arrive à la maison. Toby est heureux de me voir, et le voisin également. Je souris à ce dernier en le saluant. C'est un monsieur assez âgé, très gentil, et qui aime me complimenter. Pourtant je sais que parfois je lui en fait voir de toutes les couleurs. Avec Toby, comme avec Christophe, il m'arrive de me faire prendre dans la cour. Dans ces moments je sais très bien qu'on nous entends d'assez loin, et il m'a vu me faire tringler plus d'une fois.
    Je me rappelle un jour de printemps, me souhaiter "Bon appétit" alors que je nettoyait langoureusement la bite de Toby sortant tout juste de nos ébats. J'adore mon voisin, car il ne juge personne. Il a même parfois l'air de s'en amuser.
    Il a une voisine zoophile un peu exhib, mais cela n'a pas l'air de gêner sa bonne humeur.
    Je tente de le lui rendre parfois, en lui rendant visite ou en lui offrant des parts de gâteaux. Ces précieuses relations de voisinage sont Rare, et c'est ce qui les rends importantes.

    - Toujours pas de vos fabuleux tiramisu en perspective ?!

    C'est vrai que cela fait longtemps que je n'ai plus fait de gâteau.

    - Non désolé monsieur Brichar, mais j'en ferai un quand j'aurai ce qu'il faut, c'est promis !

    - Rhoo je plaisante. Ne promettez rien, profitez de vos journées et de vos enfants ! Bonne journée jolie Céline !

    Il me fait rougir par sa gentillesse.

    A peine rentrée dans la cour que Toby me saute dessus ! Je m'accroupi pour le papouiller et lui faire des belles caresses tandis qu'il me lèche le visage. L'excitation revient, et je ne peux m'empêcher de mêler ma langue à la sienne.

    - Oui mon toutou, ta chienne est rentrée !

    Il me badigeonne le visage de bave odorante, m'empêchant de l'embrasser comme je le voudrais. Il est alors temps pour nous de rentrer.
    Je me défait de mon blouson et mes chaussures, et part aussitôt remplir sa gamelle. Sa truffe se plante plusieurs fois dans mon cul... ce qui me fait regretter une nouvelle fois de ne pas avoir mis cette foutue jupe !
    Je le laisse manger, et part aux toilettes.

    J'aimerais tellement témoigner quelque part le tiraillement que j'ai entre cette envie malsaine d'être femme, maman et salope, et d'être juste une simple personne normal, qui reste coquine oui, mais c'est tout. Je ne peux décemment pas mettre ce débat sur internet, car cela pourrait aboutir à beaucoup de problèmes. Fait chier ! Je ne sais pas quoi faire.

    Je suis restée à réfléchir un moment dans les chiottes, si bien que Toby en a profité pour s'installer confortablement sur le canapé. Il lève sa tête lorsque la télé s'allume. Je choisis alors de mettre Hercules Poirot, que je ne regarde pas d'habitude, mais je prends le risque de m'endormir. Je retire le reste de mes vêtements, et rejoins Toby pour me blottir nue contre lui.
    Cela serait tellement immoral... mais tellement honnête envers moi-même ! Les enfants présenteraient autant Toby comme leur chien que comme leur beau père en l'emmenant en promenade.. hmmm... tout le monde comprendrait que leur mère se tape le chien à longueur de journée... bien que ce soit le plus souvent le contraire !
    Hoo oui... je n'ai aucunement envie d'une vie normale !
    Je me sert un peu plus contre mon chien, laissant la chaleur de ses poils me réchauffer et m'apaiser. Je finis par m'endormir.

    La sonnerie me réveille. Toby part sous mes tentatives d'atteindre mon portable, ce qui me rafraîchi immédiatement. Je décroche en voyant que c'est Christophe qui m'appelle.

    -Coucou mon cœur !

    -Salut mon ange ! Comment ça se passe à la maison ?

    - Très bien. Toby me tient chaud toute la journée.

    - Ta fille m'a appelé, et elle m'a envoyé des photos.

    - Haa ?! Des photos de ?

    Son ton devient subitement grave. J'ai l'impression de sentir de la colère, ce que je ne comprends pas.

    - Ta fille t'as sortie une tenue ce matin, non ?

    -Haa... heu.. oui... et ?

    - Et bien apparemment tu ne tiens même plus tes promesses. C'est quoi cette histoire ?!

    Haa voilà, mademoiselle n'est pas contente alors elle va se plaindre à mon copain ! Elle ne manque pas d'air !

    - Effectivement. J'ai juste refusée que cette tenue devienne un sujet controversé en l'emmenant à l'école, c'est tout.

    Je reste calme envers Christophe, bien que je commence moi aussi à être en colère.

    - Je croyais que tu voulais ne rien cacher à tes enfants. Et ça m'étonne d'ailleurs, que ce que pense les gens t'affecte autant aujourd'hui qu'hier ! Va falloir faire des choix sur ce que tu veux vraiment.

    Mince... me voilà fasse à la réalité. Je suis pleine de contradictions finalement.

    - Oui... je sais... je suis désolée... je... je ne sais pas quoi faire...

    - OK, j'accepte tes excuses, mais je vais être très clair Céline ! Soit tu arrêtes tout, tout de suite ! Et en ce cas tu m'oublie également.
    Soit tu commences sérieusement à te soumettre à tes gosses ! Et tout de suite !

    - Mais Christophe.. !

    - QUOI CHRISTOPHE ?!!!

    - Je... J'aimerais bien... mais... je ne sais pas comment faire... comment m'y prendre.

    - Tu veux que je vous aides à ce que tu devienne la soumise de tes enfants ?

    -Je... oui... oui je veux bien... s'il te plaît.

    - Ok, Moi ce que je veux là, maintenant, c'est une vraie salope qui accepte de sortir à poil si on lui demande ! C'est aussi ce que veulent tes gosses. Donc premierement : tu écoutes tes enfants, tu acceptes tout ! Et quand ils te demandent de sortir toute nue, tu sors toute nue, point !

    - Heu...

    - QUOI "HEUUU"... ?! On dirait une attardée.

    - Bon, Ok

    - Répète, j'ai pas bien entendu.

    - J'ai dit OK !

    - Alors c'est simple. J'irai faire des rondes aux sorties. Si tu veux que ta vie change totalement vers la soumission, tu part chercher tes enfants dans la tenue que t'avait préparée Margot. Et tu iras à pied !
    Si tu ne vas pas les chercher du tout, je m'en occupe, mais dans ces cas là, toi et moi c'est fini ! Et ça sera la dernière fois que je m'occupe de vos histoires.
    T'arrives pas à te décider, maintenant t'as pas le choix !
    C'est compris ?!

    -.. oui...

    - J'ai rien entendu !

    - Oui ! OUI J'AI COMPRIS !

    - Alors à ce soir !

    Je reste inerte alors qu'il r'accroche. Je ne sais pas quoi faire ni quoi en penser. J'ai une envie soudaine de pleurer, bien que je ne sache pas si cela est du fait qu'il m'est menacé de me quitter, ou de devoir accepter la demande de ma fille pour que cela ne se produise.
    Je tombe sur le canapé, et cherche à réfléchir sous l'un des coussins. Il me faut peser le pour et le contre. Je n'arrive même pas à penser ! J'ai l'impression d'être perdue dans quelque chose qui me dépasse.
    Que faut-il que je fasse ?
    Je n'ai pas envie qu'il me quitte, et encore moins redevenir une mère qui n'autoriserait plus à ses enfants de faire ce qu'ils veulent. Après tout oui, j'aimerais voir mes enfants prendre des décisions ici, et décider eux même de ce qu'ils désirent.
    Mais dois-je vraiment les laisser m'entraîner à l'extérieur ?
    Dans un sens, cela serait logique. Pourquoi les priver de leur maturité et leur domination envers moi en dehors de notre cadre familial ?
    Je sais que Margot tient beaucoup à me montrer comme je suis vraiment, si soumise, à ses amies. Je pense qu'elle en ai même très fière ! Elle est belle quand elle est ainsi !

    Après tout, à la base, c'est elle qui a décidée de cette tenue. Pourquoi pas après tout ? Bien que l'idée d'aller les chercher à l'école me fait très peur, ce sera l'occasion finalement, comme le dit Christophe, de leur démontrer ma motivation d'être salope devant eux, même dehors et devant les gens... à quel point je suis motivée d'être LEUR Salope !
    Les gens pourront dirent ce qu'ils veulent. J'aimerais m'affirmer n'importe où. Et si l'on commence a me traiter d'incestueuse pédophile, et bien tant pis. Je serai avant tout une chienne pour mes enfants, et nous arriverons à le démontrer aux autres.

    Alors oui, pourquoi pas ? Il faut que je prenne sur moi.
    Cagna
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    Message  Cagna Mer 31 Jan - 11:25

    Le métro est à quais au moment où nous arrivons. Margot m'entraîne par la laisse pendant que Mathias nous rejoint inestremiste avant que les portes ne se ferment. Ouf !
    Je souris, heureuse d'être à Paris, bien que le temps soit maussade, et le métro bondé !
    Pourtant, l'atmosphère dans notre râme est étrange. Tous les visages que je croisent sont posés sur moi, sur mon corps. Beaucoup de personnes ont l'air froid et aigri. Un silence de mort se fait doucement sentir autour de nous. Nous sommes alors proies des messes basses, des commentaires à demi-mot, des pensées antipathiques et agacées. Ma présence détonne et dérange, mais je m'en moque, bien que je devrais plutôt m'excuser pour ce malaise publique.
    Margot pose sa main sur mes fesses nues et me serre contre elle. Mon sourire repart aussitôt pendant que je regarde les arrêts.

    Les jouets en moi, se mouvant au fin fond de mon ventre, me font me sentir libre et si légère, que j'ai l'impression que rien ne pourra gâcher cette journée.
    Les portes s'ouvrent, et je me recule pour laisser sortir tout le monde. J'entends soudain une exclamation sur le quai, comme un cri. Je me tourne mais sait très bien que c'est de moi dont il s'agit.
    Je remonte dès que la voie est libre.
    Soudain, j'entends une femme essayant de crier son offusquation de ma présence.

    "Il y a une femme nue qui est montée dans le train !!"

    Personne ne dit rien, et je vois que Margot en rit avec son frère. Les voir hilare me provoque un rire également, mais un homme m'interpelle.

    "Ça vous fait rigoler ? Je crois de c'est de vous qu'elle p...

    "Une femme est entrée nue !! Et vous, ça ne vous fait rien ?!! Non c'est bon ça dérange personne ?!! Y'a pas un problème ?!"

    Je sent la main de Margot se loger dans le verso de ma culotte, ce qui me gratifi d'un encouragement certain. Je ne dit rien, mais voit cette femme avancer. Nos regards se croisent. Elle ouvre grand la bouche, et me désigne d'un index accusateur !

    "Elle est là !! Regardez !!"

    Margot retire sa main, et je la sens s'avancer. Je la retiens d'une main sur son ventre. Cette fois c'est à moi. Ce n'est pas à elle de subir cela. Elle a assez pris ma défense et sur elle comme ça, à moi de lui rendre la pareil.
    Jugée sur mes hautes botines, je me place devant cette femme, droite et fière. Je lève même mes lunettes de soleil pour la regarder droit dans les yeux.

    "Sachez, madame, que je ne suis pas nue ! Ceci, bien que transparent, est un underboobs! Cela constitue un haut convenable, pour peut que l'on ne soit pas trop voyeuriste ou que l'on s'offusque, comme vous, au moindre bout de sein qui saute à vos yeux !"

    Elle s'apprête à riposter, mais j'élabore alors une rapide stratégie choc. Sans la laisser dire quoi que ce soit, je maintient mes seins dans les mains et me penche latéralement sur elle.

    "Mes "tétés" comme dit mon fils, sont cachés par les pasties que vous voyez en dessous... hein, vous les voyez j'espère ?! Il va falloir revoir votre définition d'être "nue", car à ma connaissance, sortir en culotte avec ou sans haut... ça reste bien "sortir en culotte".

    La femme ne laisse pas démontée, et, bien que patiente malgré son mécontentement exagéré, répond en me toisan à son tour.
    "Donc vous êtes une exhibitioniste !"

    "Oui."

    Puis, désignant mes Maîtres.

    "Et vous osez vous balader comme ça devant des enfants ?!"

    Je ne peux m'empêcher de sourire... et laisse alors les enfants se défendre.

    Mathias : "C'est notre pute, grosse vache !"

    Moi : "Rhoo Maître, vous y allez un peu fort"

    Margot : "Excusez mon petit frère. Cette exhibitioniste, c'est notre mère. Elle est ici pour nous, et c'est moi qui lui ai demandé de s'habiller ainsi pour visiter Paris. Je la trouve très belle comme cela et ça nous suffit. Vous, si ça vous gêne, vous pouvez toujours prendre le bus. Merci, au revoir. Bonne journée."

    L'aplomb de ma fille clou le bec de cette femme. Des applaudissement se font même entendre du côté des sièges. J'en pleure timidement, fière de ma maîtresse, fière de Margot, fière de ma fille.

    Je me retrouve poussée contre la barre centrale lorsque les portes s'ouvrent à nouveau. Le flot de passagers se fait plus compacte dans cette rame mais mes Maîtres sont toujours là à mes côtés. Le train repart aussitôt. Une pression contre mes fesses me pousse encore plus contre la barre. Mon petit haut se tend contre l'objet métallique, qui aurait bien plus d'aise entre ma poitrine qui s'y comprime.
    Balancée légèrement, un nouveau coup sur mes fesses manque de me faire chuter sur Mathias. Je me rattrape sur la main d'un jeune homme, qui se rend soudain compte... non pas de ma présence... mais de celle de mes obus dans son champ de vision immédiat. Je souris et m'excuse, timidement, pendant qu'il prend conscience de l'audace de la transparence de mon haut. J'en oublie de retirer ma main, rougissant de plus en plus.

    Un nouveau coup de reins me lève légèrement sur la pointe des pieds. Je ne comprends pas ! Je décide de me retourner, mais l'homme derrière moi reste le torse écrasé contre mon dos. Il a tout l'air d'un mastodonte ! Sa taille me dépasse largement, et, devant mes yeux, sa main s'accroche à la barre. Son bras est très musclé, et je n'ose me débattre lorsqu'il se remet à me soulever d'un nouveau coup contre mes fesses !

    Une main tire exagérément ma culotte. Je me penche pour finalement remarquer un téléphone tendue. L'espace d'un instant j'ai eut très peur, imaginant un voyeur voulant une photo de ma chatte, mais c'est un simple message qui attire mon attention :
    "Il veut te baiser !"

    Je souris et rougit de nouveau, avant que je ne sois pressée encore une fois contre cette foutue barre !
    Oui, je crois que Margot a raison, l'homme voudrait sûrement me baiser.
    Mais le ferait il vraiment, là, en pleine rame du métro, au milieu de tous ces gens ?!
    Voilà soudainement que la curiosité m'emporte. Je souris à chaque tentative de me soulever, car je pense avoir compris son petit jeu.

    Les portes s'ouvrent à une nouvelle station. Je ne bouge pas pour laisser les gens sortir. Bien que la fluidité de la foule commence à se faire évidente, je suis toujours comprimée contre cette barre de fer.
    L'homme, ou plutôt le colosse, lui, est toujours là, contre mon cul.
    Je ne suis pourtant pas un siège, merde ! L'espace dans cette rame ne manque plus, et c'est naturellement que mes enfants vont s'asseoir sur des strapontins, me laissant à la merci de ce bel enculé.
    Cagna
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    Message  Cagna Lun 11 Mar - 23:54

    Classes "Classiques" :
    Paladine Free-lance
    Paladine Inquisitrice
    Guerrière Inquisitrice
    Guerrière Free-lance
    Guerrière Tribal
    Enquêteuse/Journaliste Free-lance
    Enquêteuse Inquisitrice
    Samouraï
    Guerrière à mains nues
    Barde/Ménestrel
    Conteuse
    Danseuse Envouteuse
    Druidesse
    Sorcière Alchimiste
    Sorcière Runique
    Sorcière Necromancienne
    Sorcière Envouteuse
    Mage Prêtresse
    Mage Élémentaliste
    Mage Inquisitrice
    Mage Invocatrice
    Voleuse
    Assassine
    Kidnappeuse
    Mercenaire
    Noble
    Pauvrette
    Dresseuse (Chaste)

    Classes des Terres Provocantes
    Pêcheuse
    Chasseuse Rodeuse
    Chasseuse Assistante
    Dresseuse (zoophile)
    Sorcière Biomancienne
    Armure de titan
    Insectomancienne
    Druidesse Botaniste
    Nomade
    Sorcière-Alchimiste Orificienne
    Cavalière
    Violeuse de minuit
    Mage Scatomancienne
    Mage Pissomancienne
    Dominatrice
    Racoleuse
    Soumise masochiste (debout)
    Soumise masochiste/Petgirl (4 pattes)
    Héroïne du peuple (classe légendaire)
    Héroïne des malfamés (classe légendaire)
    Dominatrice démoniaque (Dominatrice ou Sorcière légendaire)
    Marchande fruit légumes
    Négociante (babioles)
    Négociante esclavagiste


    Classes "One-shot"
    Fermière Paysanne
    Soumise pour animaux (4pattes, fermière ou Soumise légendaire)
    Soumise des démoniaques (Soumise légendaire)
    Soumise Public
    Serveuse/Barman
    Confiseuse
    Généreuse de cadeaux
    Petite enfance
    Ouvreuse de spectacle
    Mère incestueuse/Femme de mineur

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