Glucette,
c'est le nom que l'on m'a apparemment donné à la naissance. Pourtant, ce nom ne m'évoque rien et résonne creux. Je n'en ai aucun souvenir, je devais être trop petite pour m'en rappeler.
Tout ce qu'il me reste de cette vie est cette clé, cette clé qui m'a conduite ici, en France.
Je n'ai aucun souvenir de mes géniteurs, mais ne les remercierais jamais assez pour la vie que je mène aujourd'hui et ce que j'ai vécue avant ! Avoir une famille, être la chair de la chair de ses parents et vivre avec eux, ne m'aurais pas permit d'être aussi épanouie et d'être fièrement ce que je suis. Même si j'ai été éduquée, élevée, pour être ainsi depuis l'enfance, je ne me vois pas, je ne me suis d'ailleurs jamais vue, vivre comme tous ces gens "normaux".
Je me suis retrouvée, durant toute mon enfance, à vivre avec les nonnes dans un orphelinat pour fille à Turin, en Italie. L'éducation était très strict. Très vite, j'ai appris à me taire et à obéir aux ordres. "L’obéissance conduit à la sagesse, la sagesse conduit à une bonne éducation, l'éducation conduit à l'obéissance" ne cessé de rabâcher sœur Urlare.
C'est là-bas que l'on m'a raconté comment était mon père et pourquoi il m'a abandonné. Une petite fille qui savait tout juste tenir debout, avec une clé accrochée au cou. Malgré tous les compliments à son sujet, j'ai eut très vite une réputation de fille facile, de nymphomane et même de zoophile, et encore là j'en passe... tout cela à cause de sa réputation en France venu jusque dans l'établissement. Car oui, tous ses amis français sont, d'une manière que je n'explique pas, passés par Turin durant mon enfance.
Cette réputation ainsi que l'éducation des nonnes, que je suivais scrupuleusement pour devenir la plus sage des orphelines, m'a attirée de nombreuses plaisanteries de la part de mes camarades. J'ai fini par devenir, non pas la tête à claque, mais la bonne fifille docile de toutes les filles, et même des nonnes, qui, au fil du temps, se prêtaient au jeu de leurs bouffonneries.
J'ai très vite perdue ma virginité à coup de pénétrations d'objets, puis de doigtages, qui ont fini par devenir des fist... et bien que cela est commencé en petits comités à l’abri des adultes, cela devint très vite des spectacles pour tout le monde, jusqu'à me faire humilier sexuellement pendant les cours. Je n'étais même plus assise comme une bonne élève, mais me faisait passer de table en table pour que l'on profite de la "puta", surnom parmi d'autre qui prirent le pas sur mon véritable prénom... que même moi... oubliai peu à peu.
Je garde toujours l’agréable souvenir de soeur Urlare, jouant de son pied droit avec l'intégralité de mon sexe tout en donnant un cour de chant aux autres. Elle était là, strict avec les autres, assise au milieu d'une immense pièce presque vide. Les autres filles autour d'elle à chanter mélodieusement, tandis que moi j’étais là, au sol, entièrement nue, à me tortillée sous les doigts de pieds qui investissaient et agaçaient ma chatte. Elle roulait mes lèvres vaginales entre ses pétons avant de mettre le plus de ses doigts de pieds fripés à l'intérieur.
Le pire, c'est que je devait chanter moi aussi !!!
J'essayais donc de chanter à la place de crier ma joie, tout en observant mes camarades se rincer l’œil... j'adorais ça !! Comme j'aimais tellement que les soeurs s'occupent de moi devant les filles. C'était devenu une sorte de victoire contre elles, et bon dieu en est témoin, elles me faisaient jouir comme une vrai débauchée ! "C'est comme ça que doit jouir une pucelle" me disait-on toujours.
C'est ce jour là que j'ai commencée à vraiment aimer être la bonne à tout faire des bonnes sœurs de Turin, surtout à ME LAISSER FAIRE !
Je vivais nue et ne prenais plus aucune décision. Me laver, me balader, me coiffer... je ne le faisais plus toute seule. Très vite, j'attendais sagement que l'on me donne l'ordre pour tout et n'importe quoi. Ma vie se résuma à me taire, attendre les décisions, et m’exécuter sur le champ sans protester. Je n'étais plus seulement une orpheline à leurs yeux, mais une vrai mascotte pour l'établissement ! Toutes les nouvelles pensionnaires eurent le droit à leur journée de bienvenue qui consister à découvrir les lieux en compagnie de "la Cagna" tout en ayant quartier libre.
Des années après, mon rôle de bonne à tout faire fit tout naturellement place à celui de la salope à tout prendre. Je ne comptais plus les sévisses qui investirent mes trous chaque jour, ni des chattes boisées, fripées ou imberbes que je sirotais machinalement et volontairement. Je me souviens qu'à de rares occasions, le fond de mon vagin servait de "porte-monnaie" pour des transactions entre les filles, à l'abris des regards des bonnes sœurs.
Tout changea le jour où Doria, la fille la plus créatif de l'école, eut une idée incroyable : elle convainquit les sœurs à contenir toute ma mouille d'une journée dans un seau pour son usage personnel. Durant cette journée, les cours du matin furent annulés et remplacés par un roulement de doigtages, de fist et d'insertions. Le midi, la compote aux figues de madame Chombia, la cuisinière, servit de relaxant pour mon con endolori avant qu'on ne me laisse là, en plein milieu de la cour tandis qu'elles allèrent déjeuner.
En début d’après midi, un homme assez mur entra dans la cour de notre établissement. Il resta bouche bée devant le spectacle que je lui donnait. Accroupie, les bras sur le sol et ma tête posé dessus, il avait ma croupe badigeonnée de figues dans sa ligne de mire, un seau entre mes jambes pliées dans lequel s’égouttèrent mes lèvres humides. Ayant entendu des pas qui semblaient s'être arrêtés brusquement, je tentais un regard derrière moi, les cheveux ébouriffés par les jouissances répétés, mes yeux bleus azurs transperçant sa stupéfaction. Mon cœur résonna dans mon cerveau tandis que les gouttes de mouille commencèrent à s'enchainer sous des clapotis annonciateurs. Voir cet homme si perdu, si surpris, si béa devant la scène surréaliste que je pouvait lui donner, à terminé en pluie battante au dessus du récipient. Pendant que je mouillait comme une folle, je ne cessait de regarder ,d'un air impassible et normal, ce vieil homme dans les yeux.
Le seau se remplit alors très vite d'un coup. Jamais je n'avais joui autant.
c'est le nom que l'on m'a apparemment donné à la naissance. Pourtant, ce nom ne m'évoque rien et résonne creux. Je n'en ai aucun souvenir, je devais être trop petite pour m'en rappeler.
Tout ce qu'il me reste de cette vie est cette clé, cette clé qui m'a conduite ici, en France.
Je n'ai aucun souvenir de mes géniteurs, mais ne les remercierais jamais assez pour la vie que je mène aujourd'hui et ce que j'ai vécue avant ! Avoir une famille, être la chair de la chair de ses parents et vivre avec eux, ne m'aurais pas permit d'être aussi épanouie et d'être fièrement ce que je suis. Même si j'ai été éduquée, élevée, pour être ainsi depuis l'enfance, je ne me vois pas, je ne me suis d'ailleurs jamais vue, vivre comme tous ces gens "normaux".
Je me suis retrouvée, durant toute mon enfance, à vivre avec les nonnes dans un orphelinat pour fille à Turin, en Italie. L'éducation était très strict. Très vite, j'ai appris à me taire et à obéir aux ordres. "L’obéissance conduit à la sagesse, la sagesse conduit à une bonne éducation, l'éducation conduit à l'obéissance" ne cessé de rabâcher sœur Urlare.
C'est là-bas que l'on m'a raconté comment était mon père et pourquoi il m'a abandonné. Une petite fille qui savait tout juste tenir debout, avec une clé accrochée au cou. Malgré tous les compliments à son sujet, j'ai eut très vite une réputation de fille facile, de nymphomane et même de zoophile, et encore là j'en passe... tout cela à cause de sa réputation en France venu jusque dans l'établissement. Car oui, tous ses amis français sont, d'une manière que je n'explique pas, passés par Turin durant mon enfance.
Cette réputation ainsi que l'éducation des nonnes, que je suivais scrupuleusement pour devenir la plus sage des orphelines, m'a attirée de nombreuses plaisanteries de la part de mes camarades. J'ai fini par devenir, non pas la tête à claque, mais la bonne fifille docile de toutes les filles, et même des nonnes, qui, au fil du temps, se prêtaient au jeu de leurs bouffonneries.
J'ai très vite perdue ma virginité à coup de pénétrations d'objets, puis de doigtages, qui ont fini par devenir des fist... et bien que cela est commencé en petits comités à l’abri des adultes, cela devint très vite des spectacles pour tout le monde, jusqu'à me faire humilier sexuellement pendant les cours. Je n'étais même plus assise comme une bonne élève, mais me faisait passer de table en table pour que l'on profite de la "puta", surnom parmi d'autre qui prirent le pas sur mon véritable prénom... que même moi... oubliai peu à peu.
Je garde toujours l’agréable souvenir de soeur Urlare, jouant de son pied droit avec l'intégralité de mon sexe tout en donnant un cour de chant aux autres. Elle était là, strict avec les autres, assise au milieu d'une immense pièce presque vide. Les autres filles autour d'elle à chanter mélodieusement, tandis que moi j’étais là, au sol, entièrement nue, à me tortillée sous les doigts de pieds qui investissaient et agaçaient ma chatte. Elle roulait mes lèvres vaginales entre ses pétons avant de mettre le plus de ses doigts de pieds fripés à l'intérieur.
Le pire, c'est que je devait chanter moi aussi !!!
J'essayais donc de chanter à la place de crier ma joie, tout en observant mes camarades se rincer l’œil... j'adorais ça !! Comme j'aimais tellement que les soeurs s'occupent de moi devant les filles. C'était devenu une sorte de victoire contre elles, et bon dieu en est témoin, elles me faisaient jouir comme une vrai débauchée ! "C'est comme ça que doit jouir une pucelle" me disait-on toujours.
C'est ce jour là que j'ai commencée à vraiment aimer être la bonne à tout faire des bonnes sœurs de Turin, surtout à ME LAISSER FAIRE !
Je vivais nue et ne prenais plus aucune décision. Me laver, me balader, me coiffer... je ne le faisais plus toute seule. Très vite, j'attendais sagement que l'on me donne l'ordre pour tout et n'importe quoi. Ma vie se résuma à me taire, attendre les décisions, et m’exécuter sur le champ sans protester. Je n'étais plus seulement une orpheline à leurs yeux, mais une vrai mascotte pour l'établissement ! Toutes les nouvelles pensionnaires eurent le droit à leur journée de bienvenue qui consister à découvrir les lieux en compagnie de "la Cagna" tout en ayant quartier libre.
Des années après, mon rôle de bonne à tout faire fit tout naturellement place à celui de la salope à tout prendre. Je ne comptais plus les sévisses qui investirent mes trous chaque jour, ni des chattes boisées, fripées ou imberbes que je sirotais machinalement et volontairement. Je me souviens qu'à de rares occasions, le fond de mon vagin servait de "porte-monnaie" pour des transactions entre les filles, à l'abris des regards des bonnes sœurs.
Tout changea le jour où Doria, la fille la plus créatif de l'école, eut une idée incroyable : elle convainquit les sœurs à contenir toute ma mouille d'une journée dans un seau pour son usage personnel. Durant cette journée, les cours du matin furent annulés et remplacés par un roulement de doigtages, de fist et d'insertions. Le midi, la compote aux figues de madame Chombia, la cuisinière, servit de relaxant pour mon con endolori avant qu'on ne me laisse là, en plein milieu de la cour tandis qu'elles allèrent déjeuner.
En début d’après midi, un homme assez mur entra dans la cour de notre établissement. Il resta bouche bée devant le spectacle que je lui donnait. Accroupie, les bras sur le sol et ma tête posé dessus, il avait ma croupe badigeonnée de figues dans sa ligne de mire, un seau entre mes jambes pliées dans lequel s’égouttèrent mes lèvres humides. Ayant entendu des pas qui semblaient s'être arrêtés brusquement, je tentais un regard derrière moi, les cheveux ébouriffés par les jouissances répétés, mes yeux bleus azurs transperçant sa stupéfaction. Mon cœur résonna dans mon cerveau tandis que les gouttes de mouille commencèrent à s'enchainer sous des clapotis annonciateurs. Voir cet homme si perdu, si surpris, si béa devant la scène surréaliste que je pouvait lui donner, à terminé en pluie battante au dessus du récipient. Pendant que je mouillait comme une folle, je ne cessait de regarder ,d'un air impassible et normal, ce vieil homme dans les yeux.
Le seau se remplit alors très vite d'un coup. Jamais je n'avais joui autant.
Dernière édition par Cagna le Dim 13 Oct - 15:27, édité 1 fois