Chez Lucette et Gluth

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    Carnet de vie de Cagna

    Cagna
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    Messages : 34
    Date d'inscription : 27/02/2017

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    Message  Cagna Mar 28 Fév - 1:09

    Glucette,

    c'est le nom que l'on m'a apparemment donné à la naissance. Pourtant, ce nom ne m'évoque rien et résonne creux. Je n'en ai aucun souvenir, je devais être trop petite pour m'en rappeler.
    Tout ce qu'il me reste de cette vie est cette clé, cette clé qui m'a conduite ici, en France.
    Je n'ai aucun souvenir de mes géniteurs, mais ne les remercierais jamais assez pour la vie que je mène aujourd'hui et ce que j'ai vécue avant ! Avoir une famille, être la chair de la chair de ses parents et vivre avec eux, ne m'aurais pas permit d'être aussi épanouie et d'être fièrement ce que je suis. Même si j'ai été éduquée, élevée, pour être ainsi depuis l'enfance, je ne me vois pas, je ne me suis d'ailleurs jamais vue, vivre comme tous ces gens "normaux".

    Je me suis retrouvée, durant toute mon enfance, à vivre avec les nonnes dans un orphelinat pour fille à Turin, en Italie. L'éducation était très strict. Très vite, j'ai appris à me taire et à obéir aux ordres. "L’obéissance conduit à la sagesse, la sagesse conduit à une bonne éducation, l'éducation conduit à l'obéissance" ne cessé de rabâcher sœur Urlare.
    C'est là-bas que l'on m'a raconté comment était mon père et pourquoi il m'a abandonné. Une petite fille qui savait tout juste tenir debout, avec une clé accrochée au cou. Malgré tous les compliments à son sujet, j'ai eut très vite une réputation de fille facile, de nymphomane et même de zoophile, et encore là j'en passe... tout cela à cause de sa réputation en France venu jusque dans l'établissement. Car oui, tous ses amis français sont, d'une manière que je n'explique pas, passés par Turin durant mon enfance.

    Cette réputation ainsi que l'éducation des nonnes, que je suivais scrupuleusement pour devenir la plus sage des orphelines, m'a attirée de nombreuses plaisanteries de la part de mes camarades. J'ai fini par devenir, non pas la tête à claque, mais la bonne fifille docile de toutes les filles, et même des nonnes, qui, au fil du temps, se prêtaient au jeu de leurs bouffonneries.
    J'ai très vite perdue ma virginité à coup de pénétrations d'objets, puis de doigtages, qui ont fini par devenir des fist... et bien que cela est commencé en petits comités à l’abri des adultes, cela devint très vite des spectacles pour tout le monde, jusqu'à me faire humilier sexuellement pendant les cours. Je n'étais même plus assise comme une bonne élève, mais me faisait passer de table en table pour que l'on profite de la "puta", surnom parmi d'autre qui prirent le pas sur mon véritable prénom... que même moi... oubliai peu à peu.
    Je garde toujours l’agréable souvenir de soeur Urlare, jouant de son pied droit avec l'intégralité de mon sexe tout en donnant un cour de chant aux autres. Elle était là, strict avec les autres, assise au milieu d'une immense pièce presque vide. Les autres filles autour d'elle à chanter mélodieusement, tandis que moi j’étais là, au sol, entièrement nue, à me tortillée sous les doigts de pieds qui investissaient et agaçaient ma chatte. Elle roulait mes lèvres vaginales entre ses pétons avant de mettre le plus de ses doigts de pieds fripés à l'intérieur.
    Le pire, c'est que je devait chanter moi aussi !!!
    J'essayais donc de chanter à la place de crier ma joie, tout en observant mes camarades se rincer l’œil... j'adorais ça !! Comme j'aimais tellement que les soeurs s'occupent de moi devant les filles. C'était devenu une sorte de victoire contre elles, et bon dieu en est témoin, elles me faisaient jouir comme une vrai débauchée ! "C'est comme ça que doit jouir une pucelle" me disait-on toujours.
    C'est ce jour là que j'ai commencée à vraiment aimer être la bonne à tout faire des bonnes sœurs de Turin, surtout à ME LAISSER FAIRE !

    Je vivais nue et ne prenais plus aucune décision. Me laver, me balader, me coiffer... je ne le faisais plus toute seule. Très vite, j'attendais sagement que l'on me donne l'ordre pour tout et n'importe quoi. Ma vie se résuma à me taire, attendre les décisions, et m’exécuter sur le champ sans protester. Je n'étais plus seulement une orpheline à leurs yeux, mais une vrai mascotte pour l'établissement ! Toutes les nouvelles pensionnaires eurent le droit à leur journée de bienvenue qui consister à découvrir les lieux en compagnie de "la Cagna" tout en ayant quartier libre.  

    Des années après, mon rôle de bonne à tout faire fit tout naturellement place à celui de la salope à tout prendre. Je ne comptais plus les sévisses qui investirent mes trous chaque jour, ni des chattes boisées, fripées ou imberbes que je sirotais machinalement et volontairement. Je me souviens qu'à de rares occasions, le fond de mon vagin servait de "porte-monnaie" pour des transactions entre les filles, à l'abris des regards des bonnes sœurs.
    Tout changea le jour où Doria, la fille la plus créatif de l'école, eut une idée incroyable : elle convainquit les sœurs à contenir toute ma mouille d'une journée dans un seau pour son usage personnel. Durant cette journée, les cours du matin furent annulés et remplacés par un roulement de doigtages, de fist et d'insertions. Le midi, la compote aux figues de madame Chombia, la cuisinière, servit de relaxant pour mon con endolori avant qu'on ne me laisse là, en plein milieu de la cour tandis qu'elles allèrent déjeuner.

    En début d’après midi, un homme assez mur entra dans la cour de notre établissement. Il resta bouche bée devant le spectacle que je lui donnait. Accroupie, les bras sur le sol et ma tête posé dessus, il avait ma croupe badigeonnée de figues dans sa ligne de mire, un seau entre mes jambes pliées dans lequel s’égouttèrent mes lèvres humides. Ayant entendu des pas qui semblaient s'être arrêtés brusquement, je tentais un regard derrière moi, les cheveux ébouriffés par les jouissances répétés, mes yeux bleus azurs transperçant sa stupéfaction. Mon cœur résonna dans mon cerveau tandis que les gouttes de mouille commencèrent à s'enchainer sous des clapotis annonciateurs. Voir cet homme si perdu, si surpris, si béa devant la scène surréaliste que je pouvait lui donner, à terminé en pluie battante au dessus du récipient. Pendant que je mouillait comme une folle, je ne cessait de regarder ,d'un air impassible et normal, ce vieil homme dans les yeux.

    Le seau se remplit alors très vite d'un coup. Jamais je n'avais joui autant. 


    Dernière édition par Cagna le Dim 13 Oct - 15:27, édité 1 fois
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    Message  Cagna Mer 1 Mar - 16:59

    La stupeur de l'homme fit place à la colère. Dans sa fureur, il me prit solidement le bras et m’entraina rapidement à l'intérieur. Le seau se renversa pendant notre hâte, ce qui me tira un véritable pincement au cœur. En me faisant trainer de force comme une marionnette, je ne pouvais n’empêcher d'observer tout ce gâchis. Pourtant, être ainsi, nue, avec cet inconnu que je ne connaissais ni d'Eve ni d'Adan, était plus qu'excitant. Je ne savais ni où ni pourquoi il m’emmena, mais je ne faisait rien pour l'en empêcher. Protester et faire ma rebelle n'est pas l'éducation que j'ai reçu. N'être qu'une suiveuse m'a toujours procurer de nombreuses surprises !
    L’adrénaline atteint son paroxysme quand, au détour d'un couloir, il demanda à sœur Rosa où été la directrice. Malgré la peur, je ne faisait rien à part le suivre jusqu'à sœur Urlare.

    Il se présenta comme le nouveau concierge, envoyé ici via une recherche de la mairie, et cria son mécontentement de voir l'une des pensionnaire traitée ainsi. La conversation dura longtemps, au cour duquel le vieil homme menaça d'appeler la Haute justice de Turin si l'on arrêtait pas sur le champ de me traiter comme une salle esclave ! Je regardais la moniale d'un air suppliant. J'aimais cette vie, j'aimais être l'esclave du pensionnat, j'aimais qu'on me prenne pour la plus dépravée des salopes et qu'on me le fasse payer et sentir à chaque occasions ! L'idée que tout cela s’arrête me pinça le cœur et le ventre. Des larmes coulèrent sur mes joues et fut à deux doigts de vomir tandis qu'ils continuèrent leur intense discussion.
    Urlare voyait ma détresse et se sentait vraiment concernée, si bien qu'elle coupa un moment l'homme dans sa colère en lui criant "MAIS BON SANG, METTEZ-LUI DEUX DOIGTS, VOUS VOYEZ BIEN QU'ELLE SOUFFRE ?!!"
    Mais rien ni fit. Le vieux serra encore plus mon bras, étreinte à laquelle j'ai pourtant essayais de me défaire. Pour la première fois de ma vie j'ai tentait de dire stop, et je le regrette encore aujourd'hui.

    L'histoire s'est terminé sur velin, dans les dossiers d'adoptions. Car oui, pour arrêter d'être "persécutée" au sein de l’orphelinat, cet homme m'avais adopté. J'ai donc été forcée de quitter à grand regret l'établissement pour une petite maisonnée en plein centre ville. De suite il mit les points sur les I en me donnant des habits. Il ne comprenait pas pourquoi je refuser de faire tout moi même, tel une vrai assistée, ni pourquoi je ne parlait pas. Un jour il en a eut tellement ral-le-bol du silence pesant qui régnait malgré ma présence qu'il m'ordonna de dire quelque chose.
    Une conversation s’installa alors, et bien que je peut lui dire toute la gratitude que j'avais envers lui de s'occuper de moi comme il le faisait, je put également m'exprimer sur mon grand manque d'humiliations et d'envies nymphomanes. J'aime être une cagna et me comporter ainsi ! J'aime qu'on me donne des ordres, même totalement outrageants et dangereux. Je ne concevait pas et ne conçoit toujours pas ma vie autrement qu'attendre le plus sagement possible aux pieds des autres qu'on se soucie enfin de moi. De plus, je n'aimais pas être couverte de tissus. Avoir mes orifices cachés de la vue des autres était un vrai supplice : on peu tellement faire avec ! Cela peu paraitre impensable pour beaucoup, mais pour moi, être ouverte aux autres souligne mon infériorité envers eux. Ne serais-ce qu'un doigt qui frôle mes cuisses est une sensation tellement agréable que vouloir couvrir cela était exécrable.

    Finalement, après quelques semaines passés à ses côtés pour que l'hiver laisse place au printemps, il m'ordonna d'être libre et de partir quand je le voulais. Mais partir ?! Être seule dehors ?! Où vais-je dormir ?! Que vais-je faire ?! Si être libre s'est de prendre des décisions, alors ce n'était vraiment pas tentant... ce n'était pas pour moi ! Je préférais vivre comme une bonne fille convenable avec ce vieille homme, que d’airer sans but dehors... car oui s'il tenait tant à me faire sortir, j'errerais sans nul doute, nue et sans aucun but ni choix à prendre. L'idée ne plaisait pas. Il fini par trouver la solution.

    Un jour de marché, il m'habilla d'un simple haut m'arrivant au pubis et me lia les mains d'une longue corde, dont il tenait ensuite une extrémité ! Je fut très surprise de cette décision et mouilla dès mon premier pas à l'extérieur. Les regards se retournèrent vers nous, vers moi... moi et mon pubis qu'on leur offrit en spectacle. Je pinçait mes lèvres à chaque regard, chaque insulte, chaque pas que l'on faisait vers je ne sais où ! Je fut conduit jusqu’à une scène sur la place du marché. La voix d'un homme debout devant la foule et les meubles derrière lui suggéra une vente aux enchères. Il fut un peu surpris quand ses yeux croisèrent les miens mais ne fut pas plus perturbé et continua de vendre ses meubles tandis que mon petit concierge signa un parchemin qu'un homme habillé d'une longue robe lui avait tendu. L'instant d’après, mon vieil homme marqua le chiffre 47 d'une craie blanche sur mon haut. Bien que je ne comprit pas tout de suite ce soudain revirement d’éducation du vieil homme, ça me fit tilt quand je vit l'homme sur l'estrade présenter une chaise avec un numéro à la craie dessus. Mon dieu !! J’allai être vendue comme un vulgaire meuble !!! Hummmmmmm !!
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    Message  Cagna Lun 27 Mar - 23:32

    Quelques gouttes de pluie commencèrent à tomber, dégoûtant ainsi une belle poignée de badauds lorsque que l'on me conduisit sur scène. Le lot précédent trônait toujours sur l'estrade, une chaise de bois brut, dont le numéro 46 fut barré d'une croix grossière que la pluie efface déjà. Je ne su pas si c'était le froid ou le suspens qui fit trembler mes jambes. Je profitais tout de même de cette purée de pois pour me faire dessus, trop de choses tournèrent dans ma tête pour m'en soucier. L'homme servant d'huissier me conduit devant le peuple qui me dévisage des pieds à la tête. Honteuse et la tête trempée, je porte mon regard sur un petit garçon, se cachant à demi entre ses parents pour se protéger de la pluie. Je l'observe un moment, lui sourit, me touche les lèvres, rendant la situation moins tendue. La présentation du lot 47 défile comme un mirage à mes oreilles... jusqu'à ce que je me rende enfin compte que c'est de moi dont il s'agissait.

    "Mes bons messieurs, mes bonnes dames. Désolé pour ce temps capricieux que je vous prends encore un peu afin de vous faire profiter de cette toute dernière offre. Je sais que chacun de vous à fort à faire, mais tout doit partir. Voici donc le lot 47. Une très belle jeune fille, une esclave, proposée par monsieur Paul et qui n'attend, aujourd'hui même, qu'un ou qu'une nouvelle propriétaire. Celle-ci ne vous aidera pas à faire votre ménage ou vous aidera au champ non... Cette jeune femme-ci n'est pas très manuel, pas dégourdie du tout... Mais nul doute qu'elle vous servira très bien en bonne dame de compagnie, de nourrice, voir de catin à titrée. Regardez bien ce visage plein de douceurs.  Cette magnifique poitrine qui demande qu'à être palpés, regardez ! Pis ce joli con mouillé ! vous pourrez y faire des choses avec un comme celui-ci. Je ne doute pas que madame devant ne dirai pas non à un pot pour ses confitures, ou monsieur Thomas au fond, qui nous a fait part de ses meubles de qualité, ne voudriez-vous pas une bonne chatte chaude pour couver les œufs de vos poules ? Ou même, cela peut-être un bon compromis pour la reproduction de vos porcs, d'avoir cette blanche colombe à vos côtés. Imaginez vous tous cette jeune femme se prendre chacun des cochons reproducteurs du père Thomas tout au long de la journée. Hein, t'aimerais ça salope. Ho oui nul doutes qu'elle aimerait cela. Regardez-la rougir comme une pivoine ! Cela ne vous dit pas ? ALLEZ, TRÊVE DE BAVARDAGE, COMMENÇONS À 6 SOUS. Qui pour 6 pièces ? Allez, pourquoi hésiter ?! C'est bien moins qu'une miche de pain. Regardez d'ailleurs la belle paire qu'elle a."
    Je me réveille de la bulle de visions perverses, pensant vraiment aux porcs de monsieur Thomas, quand sa main, après avoir passé chacun de mes atouts en revu, claque fort mon cul et qu'il m'oblige à me tourner. Il m'écarte les fesses et je me cambre alors, par réflexe.
    "Regardez-moi ce beau trou du cul. Rien à voir avec ceux des mendiantes gourgandines. 5 écus ? Personne ?! "
    Tout en proposant ses nouveaux prix, je le sens forcer un doigt dans mon œillet. Ses mains étaient pleines de craies... Bon dieu mon cul se rappelle la douleur. Il me mit son sale index au plus profond qu'il put, me griffant la paroi anal au passage. Je sentis qu'il me poussa, le plus loin possible, de petite billes de crottes, ce qui ne sembla pas le gêner pour changer de doigt et y mettre ses deux pouces pour m'écarter l'oignon au maximum afin que tout le monde puisse en voir le plus possible, mais me donna également une grosse envie de déféquer. Écartant mon trou au maximum, il fit baisser l'enchère à 3 écus, quand soudain, au-dessus du brouhaha et des insultes de la foule, un homme cria "2 écus, si je l'essai avant !". Aussitôt, l'intrusion de l'employé de la mairie quitta mon anus afin d'approuver la requête et de pouvoir l'inviter sur l'estrade. J'en restais troublée et insatisfaite tellement mon petit gouffre en restait fou d'envies, se contractant et décontractant sans cesse du manque. "Satisfait ou remboursé. Allez-y monsieur et montrez nous la capacité de cette jeune demoiselle, je vous en prie."Je m'accroupis instinctivement, me présentant comme m'avaient apprises les sœurs et mes anciennes camarades, en attendant patiemment les initiatives.

    Cet homme était assez bourru. Ses traits marqués lui donnait un air patibulaire, menaçant aux premiers regards. Son tablier sale me fit penser que c'était l'un des marchants mais rien n'était sûr. Il me traita de salope, le sourire narquois en coin. Les choses ne tardèrent pas quand, aidé par le meneur de cérémonie, ils me soulevèrent à bout de bras tandis que le marchant baissa ses braies d'une main rapide et sûr, faisant apparaitre son sexe, bien large et épais, hissé comme un poteau bien solide autour duquel j’allai être jugé aux yeux de la populace comme une criminelle. Bien que j'avais déjà vu les sexes des chevaux de certaines personnes étant venus au pensionnat, et même dut gouter certains d'eux par contrainte, je n'avais encore jamais vu un sexe d'homme. Je ne m'attendait pas à cela, mais je dut avoué qu'avoir enfin un vrai manche d'homme en moi était une obsession depuis très très longtemps ! Tout en me tenant au-dessus du sol, il s'installa sur la chaise avant de me prendre brutalement par la taille. Tout alla ensuite très vite. D'un coup, sans aucun ménagement, il me fit empalé sur sa queue bien dur. Il m'agrippa les hanches de ses mains grasses et robuste et me fit sauter sur ses couilles à une vitesse folle !! Je sentit sa bite buttée contre quel chose au fond de moi ! Quelque chose qui me fit tourner la tête, qui me dérailla complétement à chacun de ses coups ! Le fond de ma chatte n'a jamais été investie aussi abruptement qu'en cet instant ! Il alla si vite dans notre pilonnage que je ne sentis même plus mon corps. Il lui appartenait entièrement. Il s'en servait comme d'un vulgaire jouet. J'étais trimballée comme un pantin. Je ne peux même pas dire si c'était de la baise, car là, sur cette chaise tremblante, en cet instant, sous cette pluie battante, au milieu du marché devant les habitants, c'était ma toute première expérience avec un homme !!! Ma tête ne cessa de bouger de bas en haut et me donna très vite le vertige ! Le pire, c'est qu'il alla de plus en plus vite, si bien qu'il ne resta pas en place et m'agrippa bien les fesses pour se lever et me prendre debout ! Tout à son aise, il me fit faire des bons tellement hauts, que sa bite quitta à chaque coup mon vagin... pour le pourfendre à fond en se créant de force un chemin jusqu'à son fond. Mes cheveux trempées se firent ballotèrent en tout sens. Il fut dommage que la pluie incessante fit partir la plupart des spectateurs ainsi que couvrir les bruis forts de cette baise infernale... il ne manquait que ça, que cette baise résonne à travers la ville afin que tous sortent de leurs chaumières pour voir la salope du jour se faire tringler comme personne ! Ma bouche resta ouverte tout du long, essayant de crier à la fois mon désarrois et le bonheur d'être si merveilleusement malmené, de chercher une aide quelconque également, même simplement de chercher mon souffle... mais en vain.
    Je voulue en profiter totalement, mais mon corps lâcha avant : Ce bon monsieur me pistonna si violemment que je finit par en vomir contre lui. Me traitant de tous les noms, il s'arrêta de me baiser, certainement surpris ou dégouté, mais enfourna un index dans mon fion. Il alla si loin qu'il poussa, lui aussi, la merde camouflée dans mon intérieur. Je me retenait afin de ralentir l'échéance. Mais arriva très vite ou je n'en pouvais plus de tous ces doigtages dans mon fondement ! Cette intrusion eut raison de moi : à peine eut-il sortit son doigt que, dans une explosion bruyante et odorante, je me relâchai totalement les intestins sans que je puisse y faire quelque chose. La rage monta en lui et il me laissa choir au sol, dans ma merde que je n'avais pas totalement fini de sortir et m'insulta de nouveau de tous les noms. Sa réplique, comme quoi j'étais pire qu'une truie et que j'aurais mieux fait d'être avec d'autres chiens, me rassura grandement dans mes nouveaux fantasmes de carrière, tandis que les crottes de lapins se dissolvaient par la pluie, laissant une grande marre brune autour de ma silhouette épuisée.

    Hooo comme j'aimerais tant connaitre d'autres pines, d'autres sensations, relations ! Oui je n'était qu'une moins que rien, allongé là, dans sa propre flaque de merde, du vomi plein la bouche, mais je ne cessais alors de penser à toutes sortes d'animaux que je connaissait, me faisant sourire, perdue dans mes pensées.... Hummm. Suis-je vraiment pire qu'une chienne ?! Qu'une truie ?! Et si je devenait vraiment un jour la soumise, l'esclave, d'animaux ?! Et si je ne dépendait que d'un chien, que d'un âne.... ? Être toujours à leurs pattes, attendant juste d'être léchée, prise, chaque jour de ma vie ?! Je me masturbait sans tenir compte de l'incident que j’avais apportée, trop prise par ses visions totalement folles, insensées, dépravés, irréelles, foutrement déguelasses et totalement perverses. Les yeux fermées, je ne pensais alors qu'à cela, devenir une moins que rien, pire qu'une simple soumise : une vrai salope d'esclave à bestiaux ! J’eus un orgasme foudroyant quand je ressassait les dires de tout à l'heure, m'imaginant dans une marre aux cochons, me faisant prendre par les mâles et me faire téter les seins par les plus petits. Je me laissait aller de nouveau avant d'ouvrir les paupières. Les yeux grands ouverts, ma surprise fut totale quand, à quelques centimètres de moi, le regard émerveillé du gamin que j'avais observé tout à l'heure se perd dans ce qui se passe entre mes cuisses ! Mon dieu, mais ils veulent tous me tuer de plaisir aujourd'hui ! Si je n'était pas aussi docile, je l'inviterais volontiers à toucher, m'investir, faire tout ce qu'il veut de moi ! J'entends la voix du père et le regarde faire reculer son fils. "Bon maintenant tu as vus ?! C'est tout maintenant. Elle s'est chiée dessus, elle pue. Ne reste pas là. Ta tante est rentrée, on va rentrer nous aussi. On a du voyage à faire." Le papa me sourit avant de reculer son gamin de force. Je leur rend volontiers leurs sourires. Rhaaaa j'aimerais tant courir après eux ! Être l'esclave de ces deux là ! Et mince, c'était sa tante tout à l'heure ! Cela me rassure sans savoir pour quelle raison. Être l'esclave sexuel de la famille, voir mieux, simplement du garçon ! Cela ne m'aurais vraiment pas déplus non plus, surtout si le père approuverait. J'imagine bien alors un jour le papa lui tenant la main, moi à quatre pattes à leurs côtés et entièrement nue, le petit me tenant en laisse, et allant au marché tous les trois.
    Mais je fus vite réveiller dans mes pensées par un mendiant. Ses habits dépareillés et crades, ses pustules sur le visage dégoutantes, ses chaussures trouées et sa calvitie apparente ne laissèrent aucun doute la-dessus. Il tendait un sourire noir, fortement troué par le manque de dents, vers quelqu'un derrière moi. C'était l'huissier du jour qui m'aida à me relever. "Félicitation monsieur. Et toi gourdasse, je ne savais pas quoi faire de toi, mais te voilà donnée à ce bossu... personne d'autre ne voulait de toi ! Dégagez maintenant, sales clodos ! ".

    Le manque de chicots du vagabond me fit perdre d'un coup la bonne humeur que j'avais. Jetant un coup d’œil autour de moi, surtout à mes pieds, et inspectant, d'un touché, ma raie avant de prendre conscience de l’ampleur de ce que j'avais fait, finalement, n'était-ce pas ce que je méritait ?
    Sous la bonne grâce de ce clochard, il m'aida à descendre comme il put en tout bon gentleman, gêné par un dos déformé, avant de me serrer contre lui. J'observais ses yeux loucheurs. Son œil gauche était toujours tourné sur le côté tandis que son droit était à demi-clos. Un nez crochu. Son aspect était vraiment repoussant. La vie ne l'avait vraiment pas gâté. Il glissa une de ses main dans mes cheveux avant de m'embrasser à pleine bouche. La mienne fut encore pleines de restes et goutant, sans doute, le vomi; la sienne n'était pas en reste. Je parvins tout de même à accepter ce baiser volé et lui rendit la pareil en passant mes mains à sa nuque. Ma langue caressa chaque parcelle de la bouche dégueulasse de mon nouveau maître et ramassa même au passage des morceaux douteux entre ses dents qui restaient. Nos langues se mêlèrent longuement, interminablement, sous une pluie battante, tout comme mon cœur. Bien que lui était terriblement laid et que moi je puait la merde comme pas possible... ni lui... ni moi.. ne voulions quitter se baiser. Nous nous caressions et agrippions l'un à l'autre sans quitter nos bouches qui bavaient l'une dans l'autre. Les hostilités entre nous étaient lancées !


    Dernière édition par Cagna le Dim 7 Mai - 16:36, édité 1 fois
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    Carnet de vie de Cagna Empty Re: Carnet de vie de Cagna

    Message  Cagna Dim 7 Mai - 15:52

    Bien plus grande que lui, je restait légèrement penchée pour que jamais nos bouches ne se décolles. Je me permit d'avoir mes deux mains sur sa nuque pour l'empêcher quelques peut de s'enfuir. J'étais toute à lui, entièrement, et je prenait alors bien soin de le lui faire comprendre. Sa main gauche atteignit mon pubis pour mon plus grand plaisir. Je mouillait sans doute, mais impossible de s'y retrouver sous cette tempête devenue, comme notre baiser, interminable. Je lui ouvrit la voie qu'il chercha en jonglant des pieds, glissant mes grandes jambes nues contre lui. Il ne mit pas longtemps à jouer avec mes lèvres vaginales détrempées qu'il roula entre ses doigts. Je le laissait s'amuser comme un gosse avec. Il les malaxas, trituras, pinças comme s'il découvrait une chose dont il rêvait d'avoir entre ses mains depuis toujours ! C'est inexplicable mais je le comprenait que trop bien. J'avais la même envie que lui moi aussi. Je ne savais pas comment il alla le prendre, mais courageuse et curieuse, je me lança tout de même à quitter sa nuque pour aventurer une main vers ses braies. Il fixa mes yeux d'un regard surpris. Il s'arrêta même de bouger, tenant toujours mon con dans la paume de sa main mais ne faisant plus aucun geste. Je ne savais quoi faire ! Je savais que je n'aurais jamais dut prendre une telle initiative ! Je n'aurais jamais dut en prendre ! Je laissait ma docilité à la curiosité, mais la curiosité est un grave pêché ! J'étais vraiment confuse, perdue une nouvelle fois, mais ma bouche voulut s'excuser, c'était le mieux à faire ! Pourtant, la bave de l'homme coula à flot et me remplit entièrement la bouche. Je ne put que l'avaler sans remords. Je ne savais comment prendre la chose, mais tout de suite après, il continua à se divertir avec mes lèvres vaginales, les maltraitants plus férocement ! J'avais toujours ma main sur la bosse de son pantalon et sentit même se raidir à chaque mouvement de mes doigts, comme cherchant à communiquer. Je voulut réellement dialoguer avec lui, m'excuser de ma curiosité, de se que j’allai faire, mais il ne cessa de baver et encore baver, si bien que j’abdiquai sans mécontentement, et avala même avec plaisir ce qu'il m'offrait si gentiment dans ce si bon baiser. Rassurée, je glissa donc ma main au fond de son pantalon et prit fermement son membre turgescent. Il était bien épais, solide, dur et plus long que la paume de ma main. Je sentais par mon touché ses veines bien gonflées. Bref, j’avais entre mes doigt un braquemart irrésistible ! Mon index ne mit pas longtemps à se perdre dans la fissure de sa calotte. Toute sa bite tressailli à chaque caresse que je prodiguait à son gland. Je découvre pour la première fois la joie d'avoir le sexe d'un homme en main ! Ma fierté d'être à cet homme, à ce bossu horriblement laid, s'agrandit encore plus ! Peut importe d'être à la rue, peut importe de vivre dans le froid et sans un toit au dessus de ma tête... pourvut qu'il m'embrasse, me baise, m'investisse le plus souvent possible !! Je suis à lui ! Peut importe comment il s'y prendra, mais je veut qu'il me traite comme une vrai nymphomane !
    C'est maintenant moi qui bave à n'en plus finir dans sa bouche. Je suis tellement excitée d'être à lui que maintenant je m'active autant dans son pantalon que lui avec ma fraise. Ses doigts finissent par y entrer, sans doute pour se réchauffer. Je perd sa bouche malencontreusement pour trouver mon souffle et, nous faisant plaisir mutuellement, il me lance un sourire ignoble, montrant ses nombreux trous entre ses dents tendit que son œil gauche restait sur le côté. Je lui répondant en serrant ma main sur son bel engin et en le calottant et décalottant le plus rapidement que je le put, lui rendant mutinement son sourire avant que nous nous reprenions la bouche en nous masturbant comme des fous. Ses doigts ne cessèrent de sortir et venir en moi à grande vitesse ! Je ne sais si ce fut la première fois qu'il faisait ça, mais il se démerder pas mal ! Je ne passait pas un jour à l'orphelinat sans être traitée ainsi, et je doit avouée que c'est ce qui guida quelque peut mon envie d'être soumise à n'importe qui, car oui, j'aimais tellement ça !! Même si pour lui je devait être la meilleure aubaine de sa vie, carrément donnée de force, une nana docile gagnée parce qu'il était simplement là au bon moment, il ne pouvait pas savoir à quel point j'étais attachée à lui, alors que pourtant, nous étions là en train de faire tout juste connaissance !
    Je ne cessa de le branler fermement quand tout à coup, une matière étrange et visqueuse remplie son pantalon, noyant ma main avec. Je ne savais ce que c'était, mais je ne lui lâcher pas sa bite, continuant dans ma lancer à coulisser ce beau gourdin à l'infini ! Pourtant, elle se comporta bizarrement. Plutôt que de rester droite et bien solide comme elle l'avait été jusque là, elle fut prise de spasmes et commença à devenir flasque en se tortillant n'importe comment à chacun de mes vas et viens. Sans que je ne comprenne pourquoi, il quitta soudain ma chatte et ma bouche et s'écarta de moi de quelques pas, m'obligeant alors à abdiquer et à le libéré. Je regardait un instant ma main, pleine de cette substance opaque et odorante. Je tourna ensuite mon regard vers lui, sa belle queue pendante au dessus de ses braies couverte de la même chose. Elle me faisait vraiment envie ! Il ouvrit soudainement la bouche, ce qui me surpris quelques peut. Sa voix était étrange, niaisarde, et il semblait avoir du mal à aligner les mots :
    - Huu... Gheu.. Goûte !!
    Je le regardait alors face à face. Sa voix n'étais pas la plus agréable que j'ai entendue, loin de là, mais elle correspondait assez bien à son physique. J'eut du mal à comprendre tout de suite de quoi il me parlait, mais tentant un regard discret sur son sexe, je me rappela ma main toute souillée. Mon dieu ! Le premier mot qu'il m'adressa fut donc un ordre ?!! Très émue de ce que j'ai entendue, je le regarda alors dans les yeux, m'enfin regardant plutôt ses yeux, je porta ma main à mes lèvres et lécha cette substance visqueuse sur ma paume. J'eut espérer que cela sortait de sa queue, me rassurant que cela ne pouvait être que du plaisir. Ça avait l'aspect de bon gros mollard. On m'avait craché déjà plusieurs fois dans la bouche pour que j'apprécie le gout que j'avais là ! Le goût était salé, limite amer, mais bien que la sensation fut étrange de l'avoir dans la bouche, ce n'était certainement pas immangeable, bien au contraire. C'était bien différent d'un cracha quelconque, assez en tout cas pour que j'apprécie réellement de me lécher les mains et les doigts devant mon nouveau maître ! Il m'avait donné son premier ordre et je m’appliquais donc à tout bien lécher !

    La pluie commença à s’estomper, faisant place à un crachin agréable, sans vent. Le soleil revint pendant que certains habitants risquèrent de nouveau à mettre le nez dehors.  La place était vidée de ses étalages depuis longtemps bien qu'en son milieu, parmi les restes de fruits pourries et détrempées jonchant de-ci de-là le sol, trôna la magnifique silhouette accroupie d'une femme aux longs cheveux mouillées, à demi-nue, dont le seul linge qu'elle avait sur elle lui collait au corps comme une seconde peau, par la pluie battante. Elle s'appliqua de vives mouvements de tête à nettoyer de sa langue, pour la première fois de sa vie, un homme se tenant courbé malgré lui face à elle, un salle "laissé pour compte" que tout le monde connaissait comme le bossu le plus abrutie, moche et pervers du monde... tandis que la ville se remit à vivre tout autour d'eux.
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    Message  Cagna Sam 9 Déc - 18:08

    Sa main dans la mienne, il m'emmena à travers la ville. Les pieds pleins de bous, je me laissait trainer avec peine. Mes vêtements déchirés sur mes atouts féminins choquèrent plus d'un passant lors de notre passage. Nous nous retrouvâmes dans une minuscule et étroite ruelle. L'odeur qui s'en dégageait me prit aux tripes. Mes pieds boueux se trouvèrent embourbés dans un tapissage d'excréments, liquéfier par la pluie. Des bouts de bois et des pelures de toutes sortes jonchaient les rives de ce caniveaux dégueulasse. Ce qui me frappa le plus pourtant fut la paillasse miteuse au fond de ce chemin sans issu, fait de bois & de pailles. Elle était contre un mur en piteux état, auquel était surmonté un échafaud délabré menaçant à toute instant de s'écrouler. Bien que à l’abri de la prochaine saucée, la rivière de merde semblait prendre sa source ici, juste au pied de ce lit de fortune, pour ne pas dire contre, le caniveaux se trouvant arrondit pour former son extrémité. Les deux cagettes en bois ainsi que le tonneau devant servir de meuble n'arrivèrent pas à me retirer le dégout de cet endroit. Mon corps tremblotant comprenait très bien que ce lieux était maintenant mon nouveau foyer, mais mon cerveau ne voulait rien savoir, rien comprendre... jusqu'à ce que ma tête tourne assez pour que je défaille et vomisse de nouveau. Voilà, enfin tout mon être, tout mon esprit, avait percuté !
    Je crachait mes dernières glaires quand le bossu demeuré me confirma une bonne fois pour toute ce que je savais malheureusement déjà :
    - "Maisooon !!"
    Mon dieu, je ne me ferait jamais à cette voix gravement idiote. Il se plaça debout sur le lit de fortune, ses pieds crasseux rajoutant une bonne dose de saleté dessus. Il pointa son torse du doigt avec une certaine fierté que je crut déchiffrer sur son visage.
    - "A moi maison !"
    Du dégueulis plein la gueule, je ne put m’empêcher de lui sourire. Cela me remplissait de bonheur de le voir ainsi. Lui debout, fier, et moi, penchée par mon malaise, cela me fit rappelait pourquoi j’étais ici, dans son "chez lui" morbide et puant. Mon sourire ne fit que grandir en y pensant. D'abord dégoutée, je devint finalement admirative de cette homme. Si cela se trouvait, il n'avait encre jamais montrer cette endroit à personne ! Le savoir vivre là, à presque lutter pour vivre, seul dans sa propre crasse et isolé des autres, je me sentait triste pour lui, mais heureuse d'être celle qui l'écouterait enfin et changerait son quotidien, à son bon vouloir ! Il partageait déjà son lieux de vie, sa "maisooon", avec moi, et cela me toucha fortement le cœur de bonheur.
    Voyant tout de même que je n'était pas dans mon assiette, il s'écarta du lit pour me laisser la place d'un geste de la main. Je l'en remercie d'un sourire et m'assis sans demandait mon reste.

    Telle une gamine, je m'amusait à pataugeait dans la minuscule rivière de chiasse. Du bout de mes orteils, j’immergeai des petits blocs de merde avant de m'amuser à mes rincer les pieds. Je tentait de me mettre à l'aise sans le vouloir. J'acceptait la situation. Possiblement déjà prête à vivre ici. je regardait le bossu s'afferait à me montrer ses trois pauvres meubles et me dire des choses que je ne comprenait vraiment pas, même en faisant de gros efforts. J'étais assise sagement devant un spectacle de rue. Puis, tout sourire en montrant une bouche affreuse pleines de dents pourries, cette même bouche que je n'arrivait pas à quitter quelques heures encore, il prit un grand bâton. Le bâton semblait être un manche de quelque chose. Un balais ou un outil. Je ne comprenait pas bien pourquoi il s’obstinait à bien me le montrer avant qu'il ne baisse ses braies et se penche en avant. Mes yeux s'ouvrirent en grand de stupéfaction ! Devant moi, le voilà qu'il se mettait le manche dans le cul, comme ça, le plus naturellement du monde !
    Je l'observait, à la fois surprise et subjuguée. Je n'en revenait pas que ce fou puisse faire ça comme ça, là directement devant moi, en toute impunité !

    La surprise passée, je m’accoudai sur ma main gauche, l'observant avec toute mon attention. J'étais encore plus admiratif ! Il attira toute ma curiosité, ce dont je rêvait il n'y a encore pas longtemps. La folie de cet homme me plaisait autant qu'elle me surprenait. Toute sourire, je le regardait se défaire de son bâton. Une fois libéré de l'intrusion, il se mit aussitôt accroupit dans le caniveau et déféqua.
    - "Gnnn CACA !!"
    j'étais ravie de sa prestation et j’applaudis grandement d'avoir vue cela !! Nous étions tous les deux contents ! il me rappelait ce que j'avais vécue, et j'étais heureuse de l'avoir rencontrer.
    Mes pas me conduisirent à lui pendant qu'il continuait à chier. Je me mis devant lui et le regardait de haut. Cet homme, fou, moche, bossu, je me rappelais qui il était pour moi ! Il était mon MAÎTRE !!
    Je voulait qu'il me regarde bien, debout face à lui, car c'était sur pour moi : je lui appartenait et cela sera la seule et unique fois que je me montrerais ainsi supérieur à lui.

    Je levais doucement mon haillon pour lui montrer mon intimité. Ma vulve cria sa soif. L'appel fut entendu. Désireux d'en profiter, son index maladroit la poussa avec force. Mon clitoris se fit écrasé et me tira un cri de douleur. Cependant, son regard tournait vers le miens, me fit ternir bon ! Aussitôt il se remit à sa tache d'en découvrir plus. Ses doigts crasseux s'étalèrent entre mes lèvres boursouflées. Il ne mit pas longtemps à frotter sa main contre mon con dégoulinant. Il me caressa frénétiquement, si bien que je peinait de me tenir debout ! Je m’accroupis sur ma main baladeuse, me laissant aller au plaisir ! Ses phalanges se perdaient de temps à autre dans ma grotte inondée. Mes petits râles et couinement le fond rire. Son rire débile atténue mon excitation ! Cela me rappelle qu'il est l'idiot de la ville. Ça me fait fondre de joie d'être à lui ! Je suis sa salope, la catin personnelle du fou du village !! Je ne sais si dans sa tête il prenait conscience de tout ça, mais dans la mienne, à sentir ses doigts instables farfouillés ma moule, j’étais toute à lui !! Mon corps devint bouillant malgré le froid intense.
    Son majeur se perdit un peu plus loin et titilla mon anus avec insistance. Je m'écartait pour me tourner. Il en profita alors pour se lever, sans doute ayant fini ses besoins. Je me penchât en avant, lui offrant la vue qu'il mérite, lui laissant quartier libre ! Mes mains sur les genoux, je me tournait pour tenté de le voir comme je le pouvait. Il ne se passa pas longtemps avant que je ne sente un index forcé l'entrée et se loger au plus profond que sa longueur le lui permit. Je soufflait un râle de plaisir mêlé à de la douleur. Douleur qui revint à la venu de son majeur, qui rejoignit son camarade dans ce bazars chaud et agréable. Bien qu'il ne fut pas doux, ses malversations physiques eurent vite le dessus sur le calvaire que je supportait quand son annulaire rejoignit la fête ! Les pianotements rapides de ses doigts me décrochèrent des spasmes de folie ! Mon anus ne cessa de se raidir et se détendre. Bien que ce ne fut pas le premier pour moi, je ne pouvait m’empêcher de jouir sous se toucher rectale absurde ! Ma main gauche quitta ma jambe pour me caresser la chatte. Ma croupe me faisait mal ! Mal de douleur et de plaisir ! J'étais plus que fatiguée, il fallait me reposée, mais j'étais là, là, à essayer de tenir debout en réunissant mes dernières forces pour me faire fister l'anus et à me masturber comme une vrai cochonne ! Je n'en pouvait plus ! Je transpirait à grosse goutes ! Mon corps ne tenait plus sous son traitement et je finie par m'écrouler lentement sur le sol. La croupe toujours offerte, bien en l'air à ses bons soins, je laissait mon visage et mes cheveux mariner sur les pavés froids, trempées et dégueulasses. Après avoir soufflée sur une mèche brune gênante, je put observer la silhouette d'un rat qui passa juste devant ma tête, tandis que je jetait mes mains derrière moi afin de mieux lui ouvrir mon cul.

    Le ciel gris laissa peu à peu place à une nuit sans étoiles. Le départ de sa main me fit un choc ! Ni prévention, ni douceur. Il me la sortit d'un coup ! Comme quand l'on se brûle par mégarde ! Cela me fit pousser un violent cri ! Je ne sais même pas si c'était la surprise, la douleur ou la merveilleuse sensation du débouchage spontané qui se perdit en écho dans toute la ville et fit fuir le rat ! Haletante, ma bouche ouverte laissa le champ libre à une gorgée d'eau visqueuse, que je bue par mégarde, m'étouffant presque. Pendant que je toussoté, je fini par suffoquer à la vue d'un bout de bâton plein de merde qui s'agitait devant mes yeux !
    - "Caca ?!"
    C'était le fameux manche qu'il s'était mit dans le cul avant que je ne le rejoigne. Il m'agitait l’extrémité juste son mon nez. Une bonne poignée d'excréments flasques était tartinée dessus. Je ne pouvait lui répondre, toussotant encore et crachant ce que j’avais avalée. Son impatience fut fulgurante et à peine j’eus reprit le contrôle de ma respiration que je sentit quelque chose de dur forcer mon rectum et s'y glisser avec facilité. Immédiatement, je sentit ce truc butter au fond de moi !! Je remit aussitôt mon visage contre le sol et lui ouvrit de nouveau mes fesses pour l'encourager dans sa démarche. Il me pilonna le cul jusqu'à l'os avec son bâton dans trois longs "vas-et-viens" avant de le retirer d'un coup et de le lancer derrière lui ! La brutalité de sa folie inconsciente me rendait vraiment folle !
    Je prit l'initiative de me tourner et de me mettre accroupit face à lui. La nuit me permit que de le distingué avec peine. J'attendais un peu, lui également. Malheureusement, je n'avais pas envie de déféquer. J'avais surtout envie de sexe, de me faire mettre à mal, encore ! Cette fois-ci c'est moi qui perdit très vite patience. Dans ma folie, je l’enlaça et le poussa jusqu'au lit, ce qui lui fit pousser des cris terrifiants ! Il se débattait comme un gosse qu'on punissait physiquement. Je le plaqua sur le matelas de fortune et profita de son froque baissé pour me mettre à califourchon entre ses jambes. J'en avait tellement envie que j'en oubliait mon statue sociale. Je lui caressait son visage monstrueux d'une main pour le rassurer tout en lui lançant un doux "chuuut" maternel. Mon autre main partit à la recherche de son pénis tout aussi monstrueux. Je touchait alors un sexe flasque que je me mit à écraser et branler franchement avec de suaves mouvements de bassin. Il fut rassurer à mesure que sa colonne grecque se dressait ! Bientôt, je guidait ce bel engin dans ma fleur libertine. Cette sensation m'avait tellement manquée depuis mon viole sur la place du marché ! Il ne mit pas longtemps à me mettre un doigt dans l’oignon. Je ne sais pas ce qu'il a avec les trous du cul, mais cette relation particulière n'est vraiment pas pour me déplaire ! Je laissait cette belle bite et ses doigts visiter les lieux et m'allongea sur mon atypique bossu pour m'endormir progressivement dans sa bouche tout en faisant l'amour, lui laissant un jeune corps féminin comme couverture.
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    Message  Cagna Mer 6 Mar - 22:51

    Je fut réveillée le lendemain par de pénibles clapotis. Le temps était une nouvelle fois maussade. Une pluie fine souligna le début de la matinée. Je me suis levée avec peine avant de m'apercevoir que mon Maître bossu n'étais plus là. J'étais seule. Perdue. Laissée comme une crétine ! Cela n'étais pas bon ! Rapidement, je perdis pied. L'abandon me rendait folle et dépressive. Mon cœur se serra. Mon ventre se noua. Je faillit défaillir de cette solitude pesante. Je ne pouvais pas rester à l'attendre, il fallait que je le retrouve ! Je me sentait très mal, vomissant de nouveau en faisant mes besoins. La perspective de couver une quelconque maladie n'était vraiment pus la source de mes tracas.
    Je courus à la sortie de la ruelle. Mes pieds nues sur les pavés trempées me firent glisser plus d'une fois sans pour autant me faire trébucher. Bien qu'il brouillassait, l'artère principale de la ville était noire de monde, et pour cause ! C'était jour de marché !

    Perdue, je ne savais pas où chercher pour retrouver mon prince repoussant. J'arpentais donc les allées passagères en cherchant le bossu. Je devait faire bonne impression, sans aucun doute, mais pour la première fois, les regards et les réflexions des passants ne m’intéressaient guère. Je devais le retrouver à tout pris !! Des larmes finirent par couler sur mon visage, dépitée à force de faire des aller et retour en vain. Je finie par pleurer franchement. Je me résolue à revenir dans la ruelle, inconsolable. A l'intersection, un enfant me barra la route. Il était un peu crasseux, de la chemise aux braies. Sa tête était coiffé d'un petit béret Pyrénéen en piteux état qui cachait mal ses cheveux roux. Les mains sur les bretelles, il avait cet air confiant et sur de lui que tous les enfants odieux ont. Il ne tarda pas à me dire ce qu'il me voulait.
    "Tu me laisses te toucher et j't'aide à trouver Scrofule la pustule !"
    Incroyable ! Au moment où je pensais vraiment être au bout du rollet, voilà que cet enfant, que je ne connaissais ni d'Eve, ni d'Adan, me propose son aide ! Je fit oui de la tête, un grand oui ! Mes pleures se calmèrent pendant que le garçon mis ses mains sur moi. Il ne mit pas longtemps pour venir à l'essentiel : mes seins furent d'abord malaxés, tripotés, pétries. Il érigea ensuite un téton en le griffant de son ongle sale pendant qu'il gobelota l'autre sans préavis, ne prenant même pas la peine d'ôter mon haillon troué. Je le laissait faire sans bouger. Bien que très impatiente de sa promesse, j’hésitai à le brusquer. Il goba mon pis avec une ardeur invraisemblable, se pensant surement à un buffet quelconque. Je rêvait de lui dire "Pas la peine de me le bouffer comme ça, tu n'en sortira pas du lait". Pourtant, je l'avoue, il provoqua en moi une envie terrifiante de donner un spectacle incroyablement pervers aux badauds autour de nous. Je ne put m'empêcher d'effleurer son entre jambe du bout des doigts afin d'évaluer son intérêt. Cela provoqua l'arrêt complet de ses manœuvres sur ma poitrine. Au lieu de cela, il se haussa sur la pointe de ses pieds, claqua une main sur mon con et m'empoigna les cheveux. "Bige moi,truie ladre !"
    Sa façon de parler était drôle, mais ferme. Cette fermeté m’incita à me pencher pour lui offrir un long baiser glaireux. Ma bouche était loin d'être fraiche et les émotions franchis juste avant ont bien faillit me faire chanceler de nouveau. Autant dire qu'il quitta très vite mon bec.
    "Pouah , ta la gueularde puante !!". Cependant, il passa sa frustration à me malaxer la moule. Sans doute dégouté, il changea de main pour pouvoir me peloter les fesses et avança. Car OUI, nous avancions ainsi, à la vu de tout le monde ! Les passants eurent de nouveau toute mon attention. Nous marchions lentement... certes. Ses doigts inexpérimentés me fouillèrent à tâtons, m'écrasant tantôt le clitoris, tantôt l’urètre. Il me sonda la niche presque par mégarde. Bien qu'il me fit parfois mal, je mouillait à chaque excavation de ses doigts. Cette impression de tenir tête à chaque regard des passant, combinée aux manipulations de ce petit vaurien, m'ont fait couiner de consentement continuellement. Bien que je perdait pied d'une autre façon, il m'avait redonner la joie de vivre et ce, malgré une tomate reçue en plein ventre.
    Peu après, un autre enfant, brun et aussi sale que son camarade, interpella au loin mon jeune instigateur. "Hey Gorlois, viens ici ! Y'a la Pustule qui refait son marché comme l'autre fois !!"

    Mon visage pétilla à l'annonce de l'enfant. J'avais parfaitement compris que "Scrofule la Pustule" était un quolibet affubler à mon Maître. Je prit congé du roux pour suivre les basques du brun. Je me retrouva parmi un petit attroupement. Un âne gêna les personnes voulant vite quitter la ruelle de dégout ou simple empressement. C'est serrée et ballotée que j’assistais à une scène folle : Devant l'assistance se tenais le bossu, avachit, sans braies. Les fesses à l'air, il était courbé en avant, une main à ses fesses. Je ne comprenait pas ce qu'il faisait, ni pourquoi tant de gens le contemplait, jusqu'à ce qu'il se saisisse d'une pomme devant lui et ne la présente derrière son dos, ou du moins, à son cul ! Des personnes l'encouragèrent dans sa folie, d'autres serrèrent les dents... moi, j'étais totalement hypnotisée ! Il força la pomme à entrer dans son anus. Elle y entra sans problème, non sans lui faire pousser un râle effroyable. J'étais admirative, totalement folle de ce déséquilibré !
    Soudain, je fut poussée violemment en avant et trébucha contre un homme âgé qui voulait juste passé. Il me poussa à son tour et je finie alors par bousculer mon Maître. Je l'épousseta immédiatement en guise de pardon avant de me redresser, tête baissée. J'avais commis un acte impardonnable pour la soumise que je suis. Je ne sais s'il en avait conscience mais je reçu tout de fois une attention. Il me tandis une à une quelques pommes. Je jeta un regard vers le maraîcher, qui encouragea lui aussi mon Maître anusophile, une cagette de fruits douteux devant lui. Un rapide coup d’œil vers les pommes que j'avais entre les bras me fit frissonner. Pendant que j'en déduisait que c'était ces même fruits que le bossu s'était mis dans l'ognon, il réitéra la chose en me prenant une reinette entièrement brunie. Celle ci passa sans problème et laissa de l'écume derrière son passage. J'étais ébahie devant un tel spectacle. Tout cela me rappelait mon enfance à l'orphelinat. Je restait plantée là, à me faire insulter également et regarder mon fou d'acquéreur essayait de s'en mettre une autre, perdue dans mes songes.
    Mais cette nouvelle pomme, bien que la dernière semblait avoir bien lubrifiée le passage,  ne voulut pas s'enfoncer, nous laissant à la vu d'un troufignon bien élargit par la densité de l'intrusion. Elle tomba et s'éclata sur le sol pavé. Une grande déception collective se fit sentir. La cohue reprit aussitôt autour de nous. Parmi les quolibets et les commentaires désobligeants, j’entendis quelques personnes tenir le score de 7 pommes dans son cul !! C'était incroyable ! J'étais très fière de lui !

    Il se fit réprimander par le maraîcher. Ce dernier feintait une déception horripilante. Je riait avec lui, toute guillerette que j'étais d'être à nouveau aux côté de mon propriétaire.
    "Ho bin non mince ! C'est du gâchis là !! Allez fait un effort pour le reste s'il te plais, il me faut la cagette. Et vous là, au lieu de rire, vous êtes avec lui ?! vous pourriez l'aider, non ?! Au lieu de porter tout ça à bout de bras. Allez, faites quelque chose, y'a encore tout ça après !"
    Et il remet une seconde cagette à côté de la première, pleine de carottes, navets, de feuilles de choux et autres légumes tout aussi pourris !
    "Vous ne pourrez pas porter tout ça à vous deux. Faites un effort où je ne vous donnerais plus rien."
    Je m'arrêtait de rire aussitôt. C'est vrai que nous n'aurions put porter tout cela à nous deux sans la cagette, mes bras déjà pleins de fruits. Le bossu me regarda et sembla sourire en me trouvant là. Il pris une pomme dans mes bras, brune, fripée et pleine de moisissure. Il me la montra en grognant quelque chose d'indéchiffrable.  Mais heureusement, il joignit le geste à la parole pour se faire comprendre. Il me tapota les fesses avec, doucement pour ne pas l'écraser, mais assez pour que je comprenne. Mes jambes tremblèrent. Un frisson parcourut tout mon corps. Je regardait ardemment mon gigolo. Oui, je suis avec lui ! Je suis à lui ! Sa folie m’atteins par répercussion au simple fait d'être sa soumise ! Je ne me sent pas être une déficiente mentale aussi marquée que lui, mais que les badauds le pensent eux est une perspective truculente ! L'on me voyait comme une extension de ce Maître bizarre et inquiétant, et cela était une agréable fierté personnelle !
    Je voulut poser les pommes dans la première cagette au moment où le marchand la reprit. Je pense qu'il voyait clair dans mon jeu et fit cela pour me taquiner. Je releva alors le défi. Je me tourna, dos à mon estropié, et me pencha en avant autant que je le put avec les fruits en main. Je sentit brusquement une masse molle voulant forcer mon œillet délicat. Bien que l'écartement de mon seuil m'arracha un cri de douleur, la pomme putride entra sans problèmes, si tôt conduite dans mon fondement par la main et l'avant bras de son dirigeant. Dés qu'il retira sa main, je sentit une chaleur m'envahir. Il ne faisait aucun doute que le nouvel environnement de la sphère sucrée ne lui faisait aucunement du bien. Mon ventre partit soudain en gargouillis incontrôlables avant que mon sphincter ne lâche quelques pets éclaboussés que cette nouvelle bouillie intérieur provoqua. Le grand chef opérateur pris un nouveau fruit alors qu'un nouvel attroupement se fit sous les quolibets. Quelques remarques agréables m'étaient lancés. Je tourna alors légèrement ma tête pour voir qui me gratifiait aussi joliment. Je perdit une pomme au passage. Elle fut vite ramassé par une vieille femme qui me dévisagea d'un air ronchon, qui la garda et se plaça derrière le bossu. Elle était aux premières loges lorsque mon trou du cul s'ouvrit promptement au franchissement de la seconde pomme. Mon anneau n'eut aucunement le temps de se relâcher qu'un nouveau fruit profita de l'ouverture pour suivre son camarade, le poussant ainsi au cul ! J'eut cette étrange impression de sentir ces intrusions s'avancer, se perdre, au tréfonds de mon intérieur alors que mon sphincter se délecta de ne plus être solliciter. Mon corps semblait soulager, je ne sais pourquoi. Cette sensation ne se perdit pas à l'intrusion de la quatrième, au contraire ! Les pommes s'entrechoquaient clairement dans mon rectum ! Je poussait un couinement inextinguible au milieu de toutes ces perceptions offertes à mon ventre ! J'avais une furieuse envie de me masturber !!
    Mes bras furent délestés d'une autre pomme, puis d'une autre, puis encore d'une autre.... attendez... QUOI ?!! Je n'eut pas le temps de la réflexion. Je sentais une autre pomme me dilaté l'anus avant de partir au loin ! Une autre poussa fort sur mon vagin avant d'aller y faire un tour. Elle entra sans problème, mais je roulait soudain des yeux ! Quelque chose n'allait pas !! Je sentit mon ventre s'agiter tandis qu'une suivante alla retrouver sa copine dans ma fleur ! Je ne sait pas ce qu'il se passait, mais les gargouillis que javait précédemment se changèrent en grouillements !! Une autre pomme glissa sans mal dans mes fesses sans que je m'en préoccupe. Heyyy mais non, attendez !! Quelque chose d'inhabituelle se passa en moi ! Mes parois anales reçurent des sollicitations incongrus et multiples avant de sentir des picotements !! "Aieee"" Mais bordel, il se passait quoi ?!! La pomme suivante poussa toutes les autres à l'intérieur, énervant encore plus ce qu'il se passait en moi !! Je sentait mon colon bourdonner et pianoter par d'innombrables petites choses agitées ! Mon corps me donna le tournis ! Je finie à genoux sur les pavés, lâchant ce que j'avais dans les bras sous la déception du publique.

    Je me tordais de douleur et fini allongée. Je n'entendais même pas le maraîcher gueuler sur mon Maître. Je comatait sur le sol pendant que les muscles de mon croupion se mirent en marche tout seul. Une abeille vola prêt de moi avant de se poser sur ma cuisse. Je l'observait avant d'être involontairement chaos.

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