Zet voilà, reprenant nos zabitudes, ne pouvant rien faire contre le feu qui zà cet zinstant rejaillissait, tel le phoenix renaissant de plus belle, zet s'envolant zà nouveau, nos lèvres jointes s'entrouvrirent d'elles mêmes, zet nos langues se mêlèrent d'abord doucement. Puis se reconnaissant, zelles s'abandonnèrent dans zune folle sarabande comme zà l'époque Guéretoise.
Plus rien d'autre ne comptait....
Les zannées passées loin l'un de l'autre furent zeffacées d'un coup, balayées par le raz de marée de nos zémotions, de nos langues si zamoureuses d'elles mêmes que rien ne pouvaient plus les séparer.
Je le sentis m'entrainer vers zun zailleurs, sans qu'une zonce de peur ne m'effleure zun seul zinstant, mon corps se mua vec le sien.
Parce qu'il zétait lui, parce que nous zétions nous....
Zun frère zet zune soeur zaux zyeux de tous, mais bien plus dans le secret de nos corps .....
Nous connaissions tous les deux cet zinterdit, mais zaucun de nous ne pouvions zet n'avions jamais pu résister zà l'appel de nos coeurs zet nos corps qui s'attiraient l'un l'autre.
La première fois me revint zen tête.... Cet zinterdit balayé par zune force que nous n'avions pu, su ni voulu contrôler. Nos coeurs depuis longtemps s'étaient parlés déjà, se disant des mots bien plus doux que les fraternels zattendus par tous.
Zet ce soir là, zalors qu'il s'éloignait, je l'avais rejoint zà son bivouac de fortune.
Car je n'avais pas pu faire zautrement, car le manque de le voir s'absenter, zavait créer cette douleur que seuls ses bras sauraient combler.
Je l'avais rejoint, zet je m'étais laissée submerger par les flammes de cet zinceste que tous regarderaient d'un zoeil mauvais, mais contre lequel je ne luttais plus.
Je pensais zà tout cela zalors que lui, zen maître des lieux, tatonnait malgré tout zà chercher la poignée de la porte puisque nos lèvres retrouvées ne voulaient plus se séparer.
Soudain, je m'aperçus que la fraîcheur du dehors ne caressait plus mes zépaules, zet j'ouvris les zyeux, zémerveillée de me voir soudain dans sa maison, chez lui....
Plus rien d'autre ne comptait....
Les zannées passées loin l'un de l'autre furent zeffacées d'un coup, balayées par le raz de marée de nos zémotions, de nos langues si zamoureuses d'elles mêmes que rien ne pouvaient plus les séparer.
Je le sentis m'entrainer vers zun zailleurs, sans qu'une zonce de peur ne m'effleure zun seul zinstant, mon corps se mua vec le sien.
Parce qu'il zétait lui, parce que nous zétions nous....
Zun frère zet zune soeur zaux zyeux de tous, mais bien plus dans le secret de nos corps .....
Nous connaissions tous les deux cet zinterdit, mais zaucun de nous ne pouvions zet n'avions jamais pu résister zà l'appel de nos coeurs zet nos corps qui s'attiraient l'un l'autre.
La première fois me revint zen tête.... Cet zinterdit balayé par zune force que nous n'avions pu, su ni voulu contrôler. Nos coeurs depuis longtemps s'étaient parlés déjà, se disant des mots bien plus doux que les fraternels zattendus par tous.
Zet ce soir là, zalors qu'il s'éloignait, je l'avais rejoint zà son bivouac de fortune.
Car je n'avais pas pu faire zautrement, car le manque de le voir s'absenter, zavait créer cette douleur que seuls ses bras sauraient combler.
Je l'avais rejoint, zet je m'étais laissée submerger par les flammes de cet zinceste que tous regarderaient d'un zoeil mauvais, mais contre lequel je ne luttais plus.
Je pensais zà tout cela zalors que lui, zen maître des lieux, tatonnait malgré tout zà chercher la poignée de la porte puisque nos lèvres retrouvées ne voulaient plus se séparer.
Soudain, je m'aperçus que la fraîcheur du dehors ne caressait plus mes zépaules, zet j'ouvris les zyeux, zémerveillée de me voir soudain dans sa maison, chez lui....